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Publié le 13 juillet 2021 à 10h29 Tout savoir sur l’épilation définitive - © iStock - PeopleImages Pour celles qui se lassent de la cire et autres méthodes d’épilation éphémères, on vous dit tout sur l’épilation longue durée plus connue sous le nom d’épilation définitive. Si certaines assument leur pilosité et ne souhaitent pour rien au monde se débarrasser de leur duvet, d’autres rêvent d’une peau ultra-lisse et sans poils. Pour arriver à ce résultat, de nombreuses techniques d’épilations sont disponibles aujourd’hui. Et l’une d’elles pose plus de questions que les autres l’épilation définitive. Isabelle Rousseaux, responsable de la formation des assistants dermatologues au SNDV Syndicat National des Dermatologues et Vénéréologues fait le point avec nous sur cette méthode qu’elle préfère appeler épilation longue durée » 4 à 6 semaines au début et plusieurs mois après quelques séances car nous ne sommes jamais à l'abri d'une légère repousse. Lire aussi C'est mon histoire "J'ai décidé d'arrêter de m'épiler"Quelle est la meilleure épilation définitive ?L’épilation au laserPratiquée par un médecin dermatologue ou son assistant diplômé, l’épilation laser, comme son nom l’indique, consiste à pointer un rayon lumineux sur le poil dans le but de le brûler à la racine. Mais comment ça marche ? Grâce à sa longueur d’onde très précise, le rayon cible le bulbe du poil. Le poil, lui, absorbe la lumière qui se transforme ensuite en chaleur. Il chauffe et finit par brûler. Les fonctions du follicule pileux sont alors endommagées, ce qui empêche plus ou moins la aussi Comment ralentir la repousse de mes poils ?Plusieurs lasers sont disponibles en fonction de votre type de peau, autrement dit votre phototype - Le laser Alexandrite Convient aux phototypes 1, 2 et 3, autrement dit aux peaux claires et très claires. - Le laser NdYAG Convient à tous les types de peau. On l’utilise davantage pour les phototypes 4, 5 et 6 peaux bronzées, mates, foncées et noires car sa longueur d’onde est non-spécifique de la mélanine et devient donc indispensable pour épiler les peaux pigmentées sans danger. Celui-ci nécessite plus de séances que le laser Le laser diode Convient aux phototypes 1 à 5, autrement dit des peaux claires à mates. Moins douloureux, il nécessite, lui aussi, plus de à la lumière pulséeL'épilation à la lumière pulsée – aussi appelée lampe flash – se rapproche des caractéristiques du laser grâce aux filtres qu’on lui ajoute. Son faisceau lumineux est également absorbé par le pigment du poil et crée une micro-brûlure qui va détruire le poil en plus d’altérer le follicule pileux et freiner la repousse. Elle est cependant plus diffuse donc un peu moins précise, explique l’experte. Autrement dit, il faudra un peu plus de séances qu’avec le laser ». Elle se pratique en cabinet médical ou dans les instituts de beauté zones du corps sont concernées par l’épilation définitive ? Quelle que soit la technique choisie, toutes les zones pileuses sont concernées par l’épilation définitive, visage et corps confondus. On peut classer les zones d’épilation en trois catégories les petites zones aisselles, lèvre, menton, bande du ventre, orteils et pieds ; les grandes zones avant-bras, demi-jambes et cuisses et enfin les zones sensibles maillot et sillon inter-fessier. Le temps de la séance varie en fonction de la méthode choisie mais surtout de la surface de la zone à épiler. Comptez 5 minutes pour la lèvre, 15 minutes pour une épilation des aisselles et 30 à 45 pour les demi-jambes par exemple. Parole de pro Notons que plus le poil est noir et épais, plus le résultat est longue durée. En effet, l’épilation définitive » n’est pas efficace sur les poils blancs puisque le faisceau lumineux est capté par la mélanine du poil et que par définition un poil blanc n’en détient pas. Elle est également proscrite pour les duvets au risque de provoquer ce que l’on appelle l’hyperpilosité paradoxale qui produit l’effet inverse le duvet éliminé repousse en poils noirs et drus ». Prudence donc !Quel rythme entre chaque séance d’épilation ? Les premiers résultats apparaissent entre 6 et 10 séances selon votre type de peau et la méthode choisie. Parole de pro Il n’y a pas de science exacte en termes d’épilation longue durée. On espace les séances de 4 à 8 semaines en les répartissant sur l’année en fonction du rythme des repousses. Une fois le résultat obtenu, il est possible de faire des retouches une fois par an ».L’épilation définitive, est-ce que ça fait mal ? Étant donné que ces méthodes ont pour but de brûler le poil à la racine, il est possible de ressentir un inconfort lors de la séance. Mais rien d’insurmontable, rassurez-vous ! Parole de pro Cela dépend de la sensibilité de chacun, mais il est, en effet, possible que la personne ressente une sensation de picotement et de brûlure légère sur la zone traitée. Les premières séances sont plus sensibles, pensez à bien hydrater votre peau après la séance pour calmer l’échauffement ».Lire aussi Soins hydratants quelles nouveautés pour hydrater ma peauQui peut faire une épilation définitive ?Si tout le monde peut avoir recours à l’épilation définitive, il y a quelques précautions à prendre avant de sauter le âge pour une épilation définitive ?Parole de pro Si la patiente présente une autorisation parentale, nul besoin d’attendre 18 ans pour sauter le pas. Néanmoins, pour les plus jeunes, l’épilation définitive ne peut se faire qu’après la puberté ».Les contre-indications de l’épilation définitive On ne se lance pas dans une épilation définitive tête baissée. D’ailleurs, aucun expert qualifié ne la pratique sans un diagnostic préalable. Questionnaire et examen de la peau sont dont primordiaux. Mais pourquoi ? Parole de pro Premièrement, il est impératif d’examiner les grains de beauté sur la zone à épiler. On ne passe pas le laser ou la lumière pulsée sur des grains de beauté présentant des particularités foncés, irréguliers, difformes, etc. Deuxièmement, pour voir si dérèglement hormonal, il y a. Dans ce cas, l’épilation définitive n’est pas une contre-indication mais un traitement vient en complément du processus. Troisièmement, pour déterminer quelle technique est la plus appropriée en fonction de votre type de peau. Enfin, et pas des moindres, l’épilation définitive n’est pas contre-indiquée pour les femmes enceintes mais il est judicieux d’attendre la fin de la grossesse avant de se lancer dans l’aventure ».
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Pendant la radiothérapie, ou durant les jours suivant son arrêt, plus de la moitié des patients ont des lésions superficielles, concernant surtout la muqueuse. Elles se manifestent essentiellement par des exonérations impérieuses, des épreintes et des douleurs. Ces rectites précoces coup de soleil rectal» sont en général transitoires et régressent spontanément en quelques semaines, sans séquelle fonctionnelle. Elles n’imposent l’arrêt momentané du traitement que dans moins de 1% des cas. Du reste, elles sont mal connues des gastro-entérologues car leur prise en charge est assurée dans la majorité des cas par les radiothérapeutes. En revanche, des rectites tardives, plus profondes, intéressant toute l’épaisseur de la paroi digestive, concernent au premier chef les gastro-entérologues. Elles surviennent jusque chez 20% des patients, en général entre 6 et 24 mois après la radiothérapie, mais parfois au-delà de dix ans. Leurs manifestations cliniques principales sont des exonérations répétées et impérieuses, un ténesme, des faux besoins glaireux et, surtout, des saignements. Ces saignements peuvent s’avérer invalidants par leur inconfort clinique et leur retentissement hématologique, pouvant nécessiter une supplémentation martiale, voire des transfusions globulaires. De surcroît, leur histoire naturelle est fluctuante et imprévisible mais leur arrêt spontané semble peu fréquent, en particulier lorsqu’ils sont importants [2-4]. Cette mise au point a pour but de rappeler les principaux traitements disponibles à ce jour dans ces rectites radiques chroniques hémorragiques et de déterminer leur place réelle en pratique. En revanche, nous n’aborderons pas le traitement chirurgical car il est difficile en raison de l’importante fibrose du tissu radique et dangereux en raison du risque de reprise du processus radique. Il ne doit donc être proposé qu’en dernier recours après l’échec des diverses thérapeutiques qui vont être détaillées et/ou dans le cadre particulier des sténoses et fistules ano-recto-génito-urinaires invalidantes [2-4]. La physio-pathologie La physio-pathologie des lésions radiques chroniques est complexe. Elle fait notamment intervenir une artérite oblitérante progressive et la constitution d’une fibrose interstitielle atteignant toute l’épaisseur de la paroi rectale. Les lésions ischémiques, ainsi induites, sont chroniques et irréversibles. De surcroît, elles peuvent continuer à évoluer pendant des années après la radiothérapie, avec une possible tendance à l’extension. Elles génèrent une néovascularisation superficielle sous la forme de télangiectasies muqueuses qui sont responsables de saignements. Des ulcérations peuvent également se manifester par des saignements, voire s’étendre en profondeur, au-delà de la musculeuse, et se fistuliser. La fibrose entraîne enfin une rigidité pariétale et peut conduire à une sténose de la lumière digestive [2-4]. Les facteurs de risque Le risque de survenue de ces rectites chroniques augmente avant tout avec la dose d’irradiation administrée et la dose-seuil serait de 45 grays. Le risque est également influencé par le volume irradié, le mode de radiothérapie irradiation externe ou curiethérapie, le fractionnement dans le temps et l’étalement de la dose. De même, une rectite radique précoce sévère, ayant induit une nécrose tissulaire, pourrait être la cause directe de survenue d’une rectite tardive chronique. Un geste chirurgical abdomino-pelvien, l’administration concomitante d’une chimiothérapie, une surcharge pondérale, le diabète sucré, l’hypertension artérielle, l’athérosclérose, l’âge vieillissement tissulaire et/ou une possible hypersensibilité aux radiations ionisantes d’origine génétique seraient aussi des facteurs possiblement aggravants [2-4]. L’aspect endoscopique L’aspect endoscopique de la paroi rectale est variable. La muqueuse peut être dépolie, blanchâtre et parsemée de télangiectasies prenant l’aspect de néovaisseaux plus ou moins réguliers, dilatés et fragiles. Elle peut également être congestive, friable et hémorragique au moindre contact. Dans la plupart des cas, cet aspect endoscopique est suffisamment évocateur du diagnostic de rectite radique chronique pour que les biopsies soient inutiles. D’autres lésions peuvent être associées comme des ulcérations, mais aussi une sténose, une microrectie et/ou des fistules ano-recto-génito-urinaires [2-4]. Le diagnostic différentiel Les autres causes de rectites, notamment infectieuses ou inflammatoires, posent rarement des problèmes de diagnostic différentiel tant l’anamnèse est évocatrice du diagnostic de rectite radique chronique. En revanche, l’éventualité de la persistance ou de la récidive de la maladie néoplasique initiale doit rester à l’esprit en cas d’ulcération ou de sténose. Cette situation est d’autant plus embarrassante que les tissus radiques sont trompeurs par leur dureté, que les biopsies sont délicates en raison du risque de nécrose extensive et que l’aspect de tels tissus est d’interprétation difficile en imagerie endosonographie, tomodensitométrie, résonance magnétique. La tomographie par émission de positons peut alors s’avérer utile en permettant la distinction entre du tissu tumoral évolutif et du tissu cicatriciel post-radique. Par ailleurs, la recto-sigmoïdoscopie ou la coloscopie permet de rechercher une atteinte radique associée du côlon d’amont et/ou de l’iléon d’où l’importance d’avoir connaissance du volume irradié, et de s’assurer de l’absence d’autre cause de saignements [2-5]. L’arsenal thérapeutique » Le traitement médical LES TOPIQUES Les corticoïdes sont souvent recommandés en France où nous disposons de la bétaméthasone en solution Betnésol et de l’hydrocortisone en mousse Colofoam qui a du reste l’Autorisation de Mise sur le Marché AMM dans cette indication. Pourtant, leur mode d’action n’est pas établi et ils n’ont fait l’objet que de rares études ouvertes peu détaillées [2-4, 6]. Seule une étude prospective, contrôlée, randomisée, a démontré que l’utilisation de la mousse était préférable en raison d’une meilleure tolérance locale[7]. Le sucralfate Ulcar est un sel d’aluminium adhérant à la muqueuse qui pourrait agir en diminuant la production locale de prostaglandines. Il a fait l’objet d’au moins six études ouvertes, cumulant une cinquantaine de patients, le plus souvent à la dose de 2 g dans 20 ml d’eau administrés matin et soir[2-4, 6]. En outre, une étude prospective, contrôlée, randomisée, réalisée en double aveugle, a démontré que l’amélioration clinique, concernant notamment les saignements, était significativement plus prononcée chez des patients traités par des lavements de sucralfate associés à un placebo per os versus des patients traités par des lavements de prednisolone associés à de la sulfasalazine per os [8]. Cela étant dit, en France, le sucralfate n’a pas l’AMM dans les rectites radiques. Les dérivés salicylés ont été testés en raison de leur efficacité connue dans les rectites inflammatoires. Toutefois, la sulfasalazine et l’acide 5-amino-salicylique ont fait l’objet d’études ouvertes non convaincantes [2-4, 6]. En outre, ces molécules n’ont pas non plus l’AMM dans les rectites radiques. Les acides gras à chaînes courtes ont été testés en raison de leur effet trophique sur la muqueuse digestive. Les lavements étaient en général composés de 60 mmol d’acétate, 30 mmol de propionate et 40 mmol de butyrate. Deux études ouvertes ont été publiées cumulant 13 patients [2-4, 6]. De plus, une étude prospective, contrôlée, randomisée, réalisée en double aveugle, a montré un effet bénéfique significatif sur les saignements de l’administration de deux lavements quotidiens d’acides gras à chaînes courtes versus un placebo [9]. Mais, une autre étude prospective, contrôlée, randomisée, également réalisée en double aveugle, n’a pas mis en évidence de différence significative entre des lavements de butyrate et un placebo [10]. De surcroît, les acides gras à chaînes courtes sont compliqués à utiliser en pratique quotidienne nécessité d’une préparation magistrale et n’ont pas l’AMM dans les rectites radiques. LES MEDICAMENTS PAR VOIE ORALE Les données disponibles concernant l’efficacité des médicaments par voie orale sur les saignements des rectites radiques chroniques sont embryonnaires. Parmi les produits disponibles en France, la cholestyramine, des associations œstro-progestatives [2-4, 6] et la thalidomide [11] ont fait l’objet de cas cliniques isolés. Les vitamines E etC ont été testées en association, en raison de leur effet anti-oxydant, dans le cadre d’une étude ouverte rétrospective avec un effet significatif sur les saignements [2-4, 6]. La vitamineA a été testée, en raison de son effet pro-cicatrisant, dans une étude prospective, contrôlée, randomisée, réalisée en double aveugle, qui a démontré sa possible action, notamment sur les saignements, versus un placebo [12]. Enfin, une étude prospective, contrôlée, randomisée, a montré que la diminution des saignements était significativement plus importante chez des patients traités par un lavement quotidien de bétaméthasone en solution associé à de la mésalazine per os et à du métronidazole per os versus des patients traités par un lavement quotidien de bétaméthasone en solution associé à de la mésalazine per os seule[13]. » Le traitement endoscopique LA PHOTOCOAGULATION LASER Le laser ND YAG a été testé, pour la première fois, en 1982, dans une recto-sigmoïdite radique. Son efficacité dans les rectites radiques hémorragiques a ensuite été confirmée par plusieurs études ouvertes cumulant une centaine de patients. Des effets indésirables ont toutefois été rapportés douleurs abdominales, iléus temporaire, prostatite aiguë, ténesme, sténose rectale, ulcérations rectales creusantes, fistule recto-vaginale. Le laser argon a également été testé dans le cadre d’études ouvertes cumulant une vingtaine de patients. Il était considéré comme plus sûr que le laserND YAG en raison de son pouvoir de pénétration moins important[2-6, 14]. LA THERMOCOAGULATION ET L’ELECTROCOAGULATION La sonde chauffante et la sonde bipolaire BICAP ont été les premiers matériels utilisés [2-6]. L’électrocoagulation au plasma d’argon, plus récente, a connu un essor sans précédent depuis son apparition, il y a un peu plus de dix ans. Cette technique permet en effet une électrocoagulation monopolaire sans contact avec la muqueuse traitée par le biais d’un gaz inerte, incolore, non inflammable et non toxique. L’argon, sert de conducteur et est extériorisé à l’extrémité d’un cathéter flexible contenant une électrode de tungstène qui délivre un courant électrique à haute fréquence. Il assure ainsi l’interface entre l’électrode et les tissus, et l’énergie électrique qu’il leur transmet permet alors leur coagulation [15]. En pratique, l’électrocoagulation au plasma d’argon est réalisable sans anesthésie, mais cette dernière s’avère parfois préférable, notamment en cas de distension recto-colique douloureuse et/ou en cas de lésions proches de la jonction ano-rectale dont le traitement peut s’avérer désagréable. La puissance de tir est en général supérieure à 40 W afin de permettre un bon déclenchement du tir mais il vaut mieux ne pas dépasser 50 à 60 W afin de limiter le risque de complication. Le débit de gaz est le plus souvent réglé entre 0,6 et 2 l/mn mais il peut être augmenté au-delà si cela aide au déclenchement de l’arc vers des zones d’accès difficiles. Toutefois, il y a alors un risque de mauvaise tolérance en raison de la quantité importante de gaz insufflée. L’application peut se faire point par point en cas de télangiectasies localisées et peu nombreuses, ou par balayage en cas de télangiectasies nombreuses et/ou de rectite congestive diffuse. La coagulation ainsi obtenue est homogène en surface et, en principe, limitée en profondeur 2-3mm. Le rectum, mais aussi le sigmoïde, peuvent bénéficier de la technique. Plusieurs séances sont souvent nécessaires avec une corrélation entre le nombre de séances nécessaires et l’étendue des lésions à traiter. Cependant, un délai minimal de quelques semaines entre deux séances est préférable afin de laisser un temps de cicatrisation suffisant [15, 16]. La première publication concernant cette technique date de 1994. Depuis cette époque, de nombreuses études ouvertes cumulant au moins 300 patients ont rapporté des taux d’efficacité de plus de 80% sur les saignements après 1 à 3 séances en moyenne extrêmes de 1 à 8 Tableau I [2-4, 6, 17-23]. Cette efficacité a permis à la technique de rapidement occuper le devant de la scène et ce, sans aucune étude contrôlée par rapport aux autres techniques endoscopiques [24]. TABLEAU I PRINCIPALES ÉTUDES AYANT ÉVALUÉ LA COAGULATION AU PLASMA D’ARGON DANS LES RECTITES RADIQUES CHRONIQUES HÉMORRAGIQUES Premier auteur Année Nombre de patients Arrêt complet des saignements n % Arrêt partiel des saignements n % Total % Fantin AC 1999 7 7100 0 100 Silva RA 1999 28 – – 96 Tam W 2000 15 – – 100 Kaassis M 2000 16 744 956 100 Rolachon A 2000 12 – – 83 Tjandra JJ 2001 12 650 433 83 Smith S 2001 7 5 71 2 29 100 Taïeb S 2001 11 982 2 18 100 Villavicencio RT 2002 21 14 67 6 29 95 Venkatesh KS 2002 40 39 97,5 – 97,5 Ravizza D 2003 27 – – 82 Canard JM 2003 30 – – 87 Ben-SoussanE 2004 27 – – 92 Sebastian S 2004 25 21 84 4 16 100 Dees J 2006 48 – – 98 En principe, l’électrocoagulation au plasma d’argon expose à un risque moins important de complications que la photocoagulation laser en raison de sa moindre pénétration tissulaire. Cependant, quelques complications ont été décrites, notamment de la fièvre avec bactériémie, des troubles urinaires, des ulcérations muqueuses, des hémorragies par chute d’escarre, des sténoses rectales, des microrecties, des fistules recto-vaginales et quelques perforations coliques [2-4, 6, 17-23]. Cette dernière complication a été attribuée à une accumulation endoluminale de gaz coliques hydrogène et méthane dont l’explosion aurait été favorisée par une préparation insuffisante par des lavements de Normacol. De fait, il est actuellement recommandé de recourir à une préparation colique préalable parfaite par voie orale PEG ou Fleet Phospho-soda [21]. De surcroît, l’électrocoagulation au plasma d’argon peut s’avérer inefficace, notamment en cas de saignements abondants qui absorbent» et rendent inopérants le courant électrique. De même, certaines lésions radiques du bas rectum ainsi que les rectites congestives diffuses très étendues sont d’autres limites de la technique [17-20, 22, 23]. » La formaline La formaline est un mélange de formaldéhyde et d’eau distillée. La concentration habituellement préconisée est de 4%. L’utilisation récente de cette solution dans les rectites radiques hémorragiques a été inspirée par l’expérience des urologues qui en administraient pour traiter les cystites radiques hémorragiques. Elle agirait par un effet sclérosant sur les néovaisseaux hémorragiques. En pratique, la formaline est utilisée en irrigations ou en tamponnements. Un simple lavement évacuateur préalable est suffisant. La procédure est le plus souvent réalisée sous anesthésie loco-régionale ou générale. En cas d’irrigations, le temps de contact avec la muqueuse est à chaque fois de quelques secondes à quelques minutes avec un temps total de 5 à 30 minutes. Certains utilisent des sondes de Foley à ballonnet afin de protéger la muqueuse du sigmoïde et/ou du canal anal. En cas de tamponnements, on utilise des compresses imbibées, montées sur une pince et appliquées à travers un rectoscope ou des écarteurs. Le contact entre le tampon et la muqueuse rectale est maintenu jusqu’à arrêt du saignement avec des moyennes de 2 à 3 minutes par application. Quelle que soit la méthode, la plupart des auteurs préconisent ensuite un rinçage du rectum par du sérum physiologique. Une à trois séances s’avèrent suffisantes dans la plupart des cas. Depuis les irrigations de formaline administrées pour la première fois en 1986, des études ouvertes cumulant au moins 80 patients ont rapporté des taux d’efficacité de plus de 85% sur les saignements Tableau II [2-4, 6, 25-28]. Les tamponnements de formaline ont été proposés pour la première fois en 1993. Depuis cette époque, des études ouvertes cumulant au moins 300 patients ont rapporté des taux d’efficacité de plus de 70% sur les saignements Tableau III [2-4, 6,29-34]. TABLEAU II PRINCIPALES ÉTUDES AYANT ÉVALUÉ LES IRRIGATIONS DE FORMALINE DANS LES RECTITES RADIQUES CHRONIQUES HÉMORRAGIQUES Premier auteur Année Nombre de patients Arrêt complet des saignements n % Arrêt partiel des saignements n % Total % Saclarides TJ 1996 16 13 81 3 19 100 Counter SF 1999 11 11 100 0 100 Ouwendijk R 2002 8 8100 0 100 Luna-Pérez P 2002 20 18 90 0 90 Tsujinaka S 2005 4 4 100 0 100 Cullen SN 2006 20 17 85 0 85 TABLEAU III PRINCIPALES ÉTUDES AYANT ÉVALUÉ LES TAMPONNEMENTS DE FORMALINE DANS LES RECTITES RADIQUES CHRONIQUES HÉMORRAGIQUES Premier auteur Année Nombre de patients Arrêt complet des saignements n % Arrêt partiel des saignements n % Total % Biswal BM 1995 16 13 81 3 19 100 Mathai V 1995 29 22 76 517 93 Chapuis P 1996 14 10 71 1 7 79 Salvati EP 1996 10 10 100 0 0 100 Ismail MA 2002 20 17 85 0 0 85 Chautems RC 2003 13 12 92 0 0 92 Parikh S 2003 33 – – 88 de Parades V 2004 33 13 39 10 30 70 Tsujinaka S 2005 17 15 88 1 6 94 Vyas FL 2006 30 19 63 7 23 86 Haas EM 2006 100 93 63 0 93 Des complications ont été rapportées, du même type que celles décrites après l’électrocoagulation au plasma d’argon, à savoir de la fièvre, des ulcérations muqueuses ano-rectales douloureuses, des hémorragies par chute d’escarre, des sténoses rectales, des microrecties, des fistules recto-vaginales, mais aussi des colites caustiques aiguës et des troubles de la continence anale [2-4, 6, 26, 27, 30-32, 34]. L’efficacité du traitement par formaline a été comparée à celle de l’électrocoagulation au plasma d’argon dans le cadre de deux études prospectives, contrôlées et randomisées. Ces deux études, seulement disponibles sous forme de résumés, ont rapporté des résultats équivalents [35, 36]. Toutefois, ces deux techniques sont probablement complémentaires. En effet, l’électrocoagulation au plasma d’argon est plus performante en cas d’atteinte radique du haut et du moyen rectum, a fortiori s’il y a une atteinte sigmoïdienne associée, alors que le traitement par formaline s’avère particulièrement intéressant en cas d’atteinte du bas rectum, voire du canal anal sus-pectinéal, qui sont difficiles d’accès en endoscopie. De même, une rectite congestive diffuse peut relever du traitement par formaline qui, de surcroît, est possible en cas de saignements abondants [5]. » L’oxygénothérapie hyperbare L’oxygénothérapie hyperbare a été testée dans les rectites radiques en raison de ses succès dans des lésions radio-induites de la vessie ou de la mandibule. Son mode d’action n’est pas univoque mais elle semble surtout corriger l’hypoxie tissulaire. En pratique, les séances sont le plus souvent réalisées, en ambulatoire, de façon quotidienne, dans une chambre hyperbare. Elles durent de 45 à 120minutes. La compression varie de 2 à 2,5 atmosphères. Le nombre total de séances est variable car le délai de réponse au traitement est aléatoire et car il n’y a pas de consensus sur un nombre maximal de compressions au-delà duquel le traitement s’avérerait vain. La technique a été proposée pour la première fois en 1991. Depuis cette époque, des cas cliniques et des études ouvertes cumulant au moins une centaine de patients ont rapporté des taux d’efficacité de plus de 75% sur les saignements en 24 à 67 séances de moyenne extrêmes de 2 à 198 Tableau IV [2-6, 37-41]. Cependant, l’analyse de cette littérature est difficile en raison de l’hétérogénéité des publications et, si les bons résultats se confirment, les modalités d’utilisation de cette technique devront être mieux précisées. Outre les difficultés de sa mise en œuvre en pratique, des complications ont été rapportées, surtout à type d’otites barotraumatiques, de douleurs thoraciques ou de troubles visuels le plus souvent transitoires [2-6, 38-41]. De fait, un examen préalable des tympans est nécessaire et certaines contre-indications claustrophobie, troubles de la conduction cardiaque, épilepsie mal contrôlée, bronchopathie, pneumothorax, etc. doivent être respectées. L’oxygénothérapie hyperbare pourrait être surtout intéressante en cas d’ulcérations hémorragiques et/ou en cas d’atteinte recto-sigmoïdienne étendue ayant peu de chance d’être soulagée par les autres traitements. Elle pourrait également être utilisée en cas de cystite radique hémorragique concomitante. Le choix des armes Etablir des recommandations est difficile tant les essais randomisés sont à ce jour encore rares et tant l’hétérogénéité des études les rend difficiles à comparer entre elles [6]. L’abstention thérapeutique est justifiée en cas de rectite radique hémorragique minime avec saignements rares et intermittents, sans retentissement hématologique. C’est d’autant plus raisonnable que l’arrêt spontané des saignements est toujours possible. Dans les autres cas, le traitement médical doit être envisagé en première intention en raison de sa simplicité de mise en œuvre et de son innocuité. L’utilisation des topiques est alors logique les corticoïdes au mieux en mousse et qui ont l’AMM dans cette indication ou le sucralfate qui n’a pas l’AMM. Le traitement endoscopique est en général envisagé en deuxième intention en cas d’échec du traitement médical. Il est parfois indiqué d’emblée en cas de rectite sévère avec saignements abondants. Les techniques d’électrocoagulation ont supplanté la photocoagulation laser car elles semblent avoir un meilleur rapport efficacité/risque. L’électrocoagulation au plasma d’argon a été la mieux étudiée et est désormais la plus utilisée. Son utilisation est en effet pratique absence de contact de la sonde avec les tissus traités, meilleure visibilité en l’absence de fumée gênante, possibilité de traiter des lésions peu accessibles en traitement axial, son coût modeste et son risque de perforation faible. Une à trois séances sont en général suffisantes. Dans certains cas, un traitement par formaline peut être utile en complément, notamment au niveau du bas rectum, voire au niveau du canal anal sus-pectinéal, qui sont difficiles d’accès en endoscopie. Il peut même parfois être envisagé d’emblée en cas de rectite congestive diffuse, a fortiori si les saignements sont abondants. Il peut enfin s’avérer intéressant après un échec de l’électrocoagulation au plasma d’argon. En cas d’échec des thérapeutiques précédentes, tout est permis» pour éviter la chirurgie. On peut ainsi essayer certains médicaments par voie orale, notamment la vitamine A. On peut également envisager l’oxygénothérapie hyperbare, tout particulièrement en cas d’ulcérations hémorragiques et/ou d’atteinte recto-sigmoïdienne étendue, a fortiori en cas de cystite radique hémorragique associée. Conclusion Le traitement des rectites radiques chroniques hémorragiques s’est nettement amélioré ces dix dernières années. Malgré la rareté des essais randomisés, force est d’admettre que les lavements de corticoïdes ou de sucralfate ainsi que la photocoagulation au plasma d’argon et/ou un traitement par formaline permettent désormais de soulager la plupart des patients. Il persiste toutefois des situations délicates qui rappellent que la prévention des lésions radiques est capitale. L’effet radio-protecteur de certaines drogues administrées pendant la radiothérapie notamment le misoprostol, le sucralfate ou l’amifostine est à l’étude. En revanche, l’avènement de nouvelles techniques d’irradiation comme la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle ou la radiothérapie en modulation d’intensité devraient déjà diminuer la prévalence des complications radiques chroniques [2, 4, 42]. RÉFÉRENCES 1. Bertet R. Petite histoire de la Médecine. L’Harmattan, 2005 71. 2. Hayne D, Vaizey CJ, Boulos PB. Anorectal injury following pelvic radiotherapy. Br J Surg 2001 88 1037-48. 3. Reis ED, Vine AJ, Heimann T. 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Cette technique utilise la chaleur du rayonnement d'une ampoule de tungstène pour fixer les hémorroïdes internes. Les résultats à court terme des infra rouges sur le prolapsus SommaireQuelques astuces pour un régime alimentaire sain Les 20 meilleurs aliments pour perdre du poids rapidement 1. Les légumes crucifères2. Le thon3. Les légumes à feuilles vertes4. Les œufs5. Les pommes de terre cuites à la vapeur6. Le saumon7. Les haricots8. Le piment9. Le pamplemousse10. L’avocat11. Les noix12. Les fruits13. L’huile de noix de coco14. Les graines de chia15. Les céréales complètes16. Le vinaigre de cidre17. Le fromage blanc18. Les soupes aux légumes19. Le citron20. Le céleriSurveiller son poids est essentiel pour rester en bonne santé. Pour cela, deux règles d’or une alimentation saine et une activité sportive régulière. Voici les 20 meilleurs aliments pour perdre du poids astuces pour un régime alimentaire sain • Manger bio de nos jours, il est plus facile de trouver des aliments transformés que des aliments naturels. En adoptant cette règle, vous prévenez votre corps de plusieurs maladies.• Manger beaucoup de fruits et de légumes un bon régime est majoritairement basé sur une alimentation riche en fruits et légumes. Riches en vitamines et minéraux, ils renforcent le système immunitaire.• Ne pas manger jusqu’à être rassasié il est conseillé d’arrêter de manger jusqu’à ce que vous soyez plein à 80% afin d’éviter des troubles de la digestion, et de 20 meilleurs aliments pour perdre du poids rapidement 1. Les légumes crucifèresLes légumes crucifères cresson, radis, navet, choux, brocolis… sont riches en fibres pour favoriser une bonne digestion et éviter les ballonnements. Ces légumes sont peu caloriques, entre 35 à 45 calories pour 100 grammes, et riches en eau. Ils permettent donc un sentiment de satiété durable et préviennent l’accumulation de graisses dans certaines zones du corps comme le ventre, les cuisses, les fesses et les Le thonUne étude effectuée sur des souris a prouvé que le thon stimulait la leptine qui joue un rôle essentiel pour perdre du poids. Les aliments riches en oméga 3 stimulent la production de cette hormone qui permet de diminuer l’appétit et d’augmenter la dépense énergétique. Par ailleurs, le thon est riche en vitamines et en acides aminés essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Il est également riche en sélénium, un antioxydant qui neutralise les radicaux libres et prévient l’accumulation des Les légumes à feuilles vertesCe type d’aliments est très efficace pour perdre du poids. Les épinards, par exemple, sont riches en fer, en magnésium et en antioxydants qui neutralisent les radicaux libres, préviennent l’accumulation des toxines et ralentissent le processus de vieillissement de la peau. Pensez également à la laitue, elle est peu calorique, riche en vitamines et en eau pour offrir un sentiment de satiété et éviter de Les œufsDe nombreuses personnes pensent qu’il faut éviter de manger des œufs pour perdre du poids. Dans le régime IG Indice Glycémique, conçu par une diététicienne française Angélique Houlbert et un ingénieur Elvire Nérin, il est conseillé de consommer des œufs deux jusqu’à quatre fois par semaine. Par ailleurs, les œufs contiennent de la vitamine B12 qui aide à détruire les cellules Les pommes de terre cuites à la vapeurCela peut paraître surprenant, mais les pommes de terre font partie des aliments qui font perdre du poids. En effet, ces légumes sont riches en sucres lents glucides complexes qui, contrairement aux sucres rapides, sont absorbés lentement par l’organisme et constituent une source d’énergie pour bien finir sa plus, la consommation de sucres lents permet d’éviter les envies de sucré car ils régulent le taux de sucre dans le sang. Toutefois, il faut en consommer avec modération et de préférence à la vapeur pas en frites !, et pratiquer une activité Le saumonLe saumon est un aliment riche en protéines, en iode et en acides gras oméga-3 qui préviennent l’accumulation des lipides et favorisent un meilleur métabolisme des sucres au niveau des cellules. Favorisez le saumon biologique, donc d’élevage, car la composition océanique a malheureusement un impact sur les poissons sauvages lorsque l’eau est polluée, la chair du poisson l’est Les haricotsLes haricots blancs, verts, rouges… sont riches en protéines qui sont essentielles pour développer une bonne masse musculaire. Ils sont également riches en fibres qui favorisent une bonne digestion, et sont pauvres en Le pimentLe piment est un aliment essentiel pour les personnes qui souhaitent perdre du poids. Le piment contient essentiellement un composé chimique appelé capsaïcine, qui stimule la production de deux hormones appelées l’adrénaline et la noradrénaline permettant de brûler les matières grasses accumulées dans le corps en augmentant la dépense énergétique. Néanmoins, cet ingrédient est déconseillé aux personnes qui sont allergiques au piment, qui souffrent d’hémorroïdes ou du syndrome de l’intestin Le pamplemousseLe pamplemousse est un fruit riche en vitamines et en antioxydants qui possèdent la capacité d’éliminer les toxines et de prévenir l’accumulation des matières grasses. Ce fruit est peu calorique 30 calories seulement pour 100 grammes, et riche en pectine, une fibre alimentaire insoluble qui gonfle au contact de l’eau et offre un sentiment de L’avocatL’avocat est riche en bon gras que le corps peut utiliser comme source d’énergie. Il contient également de la vitamine E, B, et des fibres pour un sentiment de satiété durable. Il est également riche en acides gras oméga-3 stimulant la production d’une hormone appelée leptine qui réduit l’appétit et augmente la dépense Les noixDe nombreuses personnes pensent que manger des noix peut faire grossir. Bien au contraire, cet aliment peut aider à perdre du poids. Les noix sont riches en nutriments qui permettent un bon fonctionnement du cœur, mais il faut les consommer avec modération. Ces fruits secs sont riches en graisses monoinsaturés qui aident à réduire le taux de mauvais cholestérol et à brûler plus d’énergie en raison de leur résistance à la dégradation par les enzymes chercheurs de l’Université de Pennsylvanie ont découvert que lorsque la consommation de noix est autorisée dans les régimes, les personnes concernées ressentaient moins la privation. La possibilité de consommer certains fruits secs les aidaient aussi psychologiquement à ne pas abandonner le Les fruitsCe n’est un secret pour personne les fruits sont bons pour la santé. Ils sont faibles en calories, et riches en nutriments et minéraux qui donnent suffisamment d’énergie pour tenir toute la journée. Par ailleurs, des fruits comme les oranges ou la pastèque favorisent une bonne digestion et aident à éliminer les toxines accumulées. N’hésitez donc pas à consommer des fruits biologiques et de L’huile de noix de cocoCette huile est un allié minceur très efficace. En effet, elle aide à brûler des calories même au repos, car l’huile de noix de coco demande beaucoup d’énergie pour être digérée. En outre, des scientifiques ont constaté que cet aliment était riche en triglycérides à chaîne moyenne qui sont directement métabolisés par le foie, accélérant ainsi la perte de poids. Les chercheurs ont découvert qu’un régime riche en triglycérides permettait une perte de 23% de matières grasses en Les graines de chiaLes graines de chia sont riches en antioxydants, en vitamines, en omégas-3 et en minéraux. Selon The British Journal of Nutrition, les graines de chia ont la capacité d’accélérer le métabolisme et d’éliminer la graisse accumulée au niveau de ventre. En outre, elles sont riches en fibres solubles qui gonflent et s’attardent lors du processus digestif. Elles offrent donc un sentiment de satiété qui dure longtemps. Toutefois, les experts recommandent de se limiter à une cuillère à café par jour seulement !15. Les céréales complètesLes céréales complètes sont riches en vitamines, en glucides, en protéines et en fibres alimentaires qui permettent une bonne digestion et offrent un sentiment de satiété. Par ailleurs, les glucides sont présents sous forme d’amidon qui est absorbé lentement par l’organisme et donne plus d’énergie. Optez pour des céréales complètes ; elles présentent un faible taux de lipides moins de 5% et sont riches en sels minéraux comme le fer, le calcium ou le Le vinaigre de cidreLe vinaigre de cidre a de nombreux bienfaits pour la santé comme guérir l’acné, désinfecter les plaies, réduire le taux de sucre dans le sang ou encore traiter le reflux gastro-oesophagien. Une étude japonaise menée sur deux groupes de personnes obèses a prouvé l’efficacité de la premier groupe a bu 500 ml d’eau contenant 30 ml, soit une cuillère à soupe, de vinaigre de cidre pendant 12 semaines, tandis que le deuxième groupe ne buvait que de l’eau. Les scientifiques ont noté que le premier groupe avait, à la fin de l’expérience, un indice de masse corporelle plus bas, moins de graisse abdominale. Cet aliment avait favorisé une perte de poids Le fromage blancContrairement aux idées reçues, le fromage blanc est efficace pour perdre du poids et offre un sentiment de satiété qui dure longtemps. Cet aliment est fabriqué à partir d’un fromage ordinaire dont la matière grasse a été totalement retirée. Il est riche en protéines, en vitamines et en calcium pour participer au renouvellement des tissus cellulaires et fortifier les Les soupes aux légumesOutre vous réchauffer, les soupes aux légumes sont faibles en matières grasses et riches en vitamines, en sels minéraux et en fibres pour favoriser une bonne digestion. N’hésitez pas à faire des soupes aux choux, cet aliment est un détoxifiant puissant qui aide à brûler des graisses pour une perte de poids Le citronLe citron est un aliment minceur très efficace pour les personnes qui souhaitent perdre du poids. En effet, il est riche en antioxydants qui aident à neutraliser les radicaux libres. Ces derniers s’attaquent aux cellules saines, favorisent l’accumulation de la graisse et accélèrent le processus de vieillissement de la peau. Par ailleurs, ce fruit contient de la pectine, une fibre soluble qui gonfle au contact de l’eau et vous coupera l’envie de grignoter durant la journée. Pour perdre du poids, optez pour de l’eau tiède citronnée chaque matin à Le céleriLe céleri est un coupe-faim très efficace, faible en calories et riche en fibres qui améliorent la digestion, préviennent les ballonnements et offrent un sentiment de satiété durable. Par ailleurs, le céleri est un diurétique très efficace qui prévient l’accumulation des toxines, élimine les graisses et améliore la fonction rénale. Lire aussi Cette boisson au citron et au miel vous aide à perdre du poids