đŸŠ„ Article 14 Du Code De ProcĂ©dure Civile

Article1281-14 du Code de procédure civile. Article 1281-14 du Code de procédure civile. Copier. Suivre. Autour de l'article (11) Commentaires 5. Décisions 6. Document parlementaire 0. Une seule plateforme, toute l'information juridique disponible. Jurisprudence, conclusions du rapporteur public, documents parlementaires, codes, lois,

Home page Search by criteria Code de procĂ©dure civile du canton de Vaud. Rel... ‎ Lausanne, impr. Corbaz et Robellaz 1847- 1857, 190x120mm, 158 + 189pages, demi-percaline. ‎ Reference 49428 ‎‎ € € Bookseller's contact details Bouquinerie du VarisM. Daniel MonneyRoute de LĂ©chelles 361773 RussyCanton de Fribourg Switzerland bouquin 41 26 323 23 43 Contact bookseller Payment mode Sale conditions Nous expĂ©dions les livres dĂšs rĂ©ception de votre paiement. Vous avez la possibilitĂ© de nous retourner les livres commandĂ©s. Aux conditions suivantes ‱ Si le titre ne correspond pas Ă  votre commande. ‱ Si l’état du livre ne correspond pas Ă  la description que nous en avons faite. ‱ Si le retour est fait dans les 15 jours. ‱ Si le retour est fait dans le mĂȘme emballage, comme vous l’avez reçu. ‱ Si le retour est accompagnĂ© d’un Ă©crit mentionnant les motifs. Ces conditions Ă©tant remplies, nous nous engageons Ă  rembourser au client le prix des livres, sans les frais de port. Uniquement pour la Suisse, possibilitĂ© de payer sur facture sous 30 jours dĂšs rĂ©ception de la commande. Lieferkonditionen Wir versenden die BĂŒcher nach Eingang Ihrer Zahlung. Sie können die BĂŒcher zurĂŒckbeordert. Die folgenden Bedingungen ‱ Wenn der Titel nicht mit Ihrer Bestellung. ‱ Wenn sich der Zustand des Buches nicht mit der Beschreibung entsprechen wir gemacht haben. ‱ Wenn die RĂŒckgabe innerhalb von 15 Tagen. ‱ Wenn die RĂŒckgabe im gleichen Paket gemacht wird , wie Sie haben es empfangen. ‱ Wenn die RĂŒckkehr erfolgt durch schriftliche ErwĂ€hnung der begleitet GrĂŒnden. Diese Bedingungen sind erfĂŒllt, werden wir dem Kunden den Preis der BĂŒcher erstatten, ohne Porto. Nur fĂŒr die Schweiz können die Rechnung innerhalb von 30 Tagen nach Erhalt der Bestellung zu bezahlen. Terms of Delivery We ship the books upon receipt of your payment. You can return the books ordered. The following conditions ‱ If the title does not match your order. ‱ If the book's condition does not match the description we have made. ‱ If the return is made within 15 days. ‱ If the return is made in the same package as you have received it. ‱ If the return is accompanied by a written mentioning the reasons. These conditions are fulfilled, we will refund the customer the price of books, without postage. Only for Switzerland can pay the invoice within 30 days upon receipt of the order. Terminos de envio Enviamos los libros a la recepciĂłn de su pago. Puede devolver los libros ordenados. Segun las siguientes condiciones ‱ Si el tĂ­tulo no se corresponde con su pedido. ‱ Si la condiciĂłn del libro no coincide con la descripciĂłn que hemos hecho. ‱ Si la devoluciĂłn se hace dentro de 15 dĂ­as. ‱ Si la devoluciĂłn se hace en el mismo paquete que se ha recibido. ‱ Si la devoluciĂłn se acompaña de un escrito mencionando los motivos. Estas condiciones se cumplen, se reintegrarĂĄ al cliente el precio de los libros, sin gastos de envĂ­o. SĂłlo para Suiza pueden pagar la factura dentro de los 30 dĂ­as tras la recepciĂłn de la orden. Os termos de evnio NĂłs enviamos os livros apĂłs o recebimento do seu pagamento. VocĂȘ pode devolver os livros encomendados. As seguintes condiçÔes ‱ Se o tĂ­tulo nĂŁo corresponde ao seu fim. ‱ Se a condição do livro nĂŁo corresponder Ă  descrição que fizemos. ‱ Se o retorno Ă© feito no prazo de 15 dias. ‱ Se o retorno Ă© feito no mesmo pacote como vocĂȘ o recebeu. ‱ Se o retorno Ă© acompanhado por uma escrita mencionando as razĂ”es. Estas condiçÔes sĂŁo cumpridas, iremos reembolsar o cliente o preço dos livros, sem portes. Apenas para a Suíça pode pagar a fatura no prazo de 30 dias apĂłs o recebimento da ordem. The item was added to your cart You have just added - There are/is 0 items in your cart. Total € without shipping fees What can I do with a user account ? What can I do with a user account ? All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches. You may manage a list of your favourite, regular searches. Your preferences language, search parameters, etc. are memorised. You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it. Get in touch with booksellers, order books and see previous orders. Publish Events related to books. And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !
Articleunique. Le dernier alinĂ©a de l'article 459 du code de procĂ©dure pĂ©nale est remplacĂ© par trois alinĂ©as ainsi rĂ©digĂ©s : « Il rend un jugement immĂ©diat sur les exceptions d'incompĂ©tence juridictionnelle et sur les exceptions d'irrecevabilitĂ© de constitution de partie civile dont il est saisi, sauf s'il ne peut y ĂȘtre rĂ©pondu
L’article 815 du Code Civil français dispose que Nul ne peut ĂȘtre contraint Ă  demeurer dans l’indivision et le partage peut toujours ĂȘtre provoquĂ©, Ă  moins qu’il n’y ait Ă©tĂ© sursis par jugement ou Legifrance Une indivision est le fait d’ĂȘtre propriĂ©taire avec une ou plusieurs autres personnes d’un bien qui de nature ne peut ĂȘtre divisĂ©. Par exemple, vous possĂ©dez une maison avec votre conjointe suite Ă  son achat en commun. Autre exemple, vous hĂ©ritez avec vos frĂšres et sƓurs d’un appartement suite au dĂ©cĂšs d’un parent. Il ne s’agit pas Ă  proprement parler d’un gĂąteau qu’on peut dĂ©couper pour que chacun prenne sa part, ou d’une somme d’argent Ă  partager. DĂšs lors, deux cas de figure se prĂ©sentent. En cas de bonne entente Il y a le cas le plus courant oĂč les indivisaires sont en bonne entente et ont un bien en commun. Par exemple, un couple qui possĂšde un bien indivis et qui vit dans ce logement familial. Il y a Ă©galement le cas des hĂ©ritiers qui viennent d’hĂ©riter d’une maison au soleil qui est conservĂ©e dans les mĂȘmes conditions pour ĂȘtre exploitĂ©e pendant les vacances. En cas de mĂ©sentente Et, il y a le cas oĂč il n’y a pas d’entente sur le bien possĂ©dĂ© en commun suite Ă  un divorce, ou au fait que plusieurs personnes viennent d’hĂ©riter d’un bien avec chacun son projet. Dans ces circonstances, il peut y avoir un indivisaire qui veut vendre et un autre qui ne veut pas. Dans tous les cas de figure, l’article 815 du Code Civil est justement lĂ  pour ça. La loi prĂ©voit Ă  travers ce texte, qu’un indivisaire n’est pas tenu de rester bloquĂ© dans une indivision. Auquel cas, soit les indivisaires travaillent en bonne intelligence et essayent de trouver une solution amiable pour dĂ©bloquer la situation comme la vente du bien Ă  une tierce personne. L’indivisaire qui ne souhaite pas vendre peut Ă©galement proposer de racheter la part de celui qui veut sortir de l’indivision. Dans l’éventualitĂ© oĂč aucune solution amiable n’est trouvĂ©e, le dossier termine devant la justice sur demande de l’indivisaire qui souhaite quitter l’indivision. Le Juge en charge du dossier peut alors prononcer la licitation qui correspond Ă  la vente aux enchĂšres judiciaire du bien. L’appartement, la maison ou autre se retrouve donc Ă  ĂȘtre vendu lors d’une sĂ©ance de vente aux enchĂšres et le plus offrant remporte le bien. Cette voie permet certes de sortir de l’indivision, mais elle engendre un grand nombre de frais et Ă©galement la vente du bien Ă  un prix infĂ©rieur Ă  celui du marchĂ© dans la plupart des cas. Il y aura donc de façon quasi certaine, de la casse en cas de mĂ©sentente.

Larticle 145 du code de procĂ©dure civile permet au juge des rĂ©fĂ©rĂ©s d’ordonner in futurum une mesure d’instruction. Classiquement, les critĂšres de rattachement territorial du litige sont ceux fixĂ©s par l’article 42 du code de procĂ©dure civile. Il s’agit de : la juridiction du le lieu ou demeure le dĂ©fendeur ;

d’une procĂ©dure contradictoire 33 . Par ailleurs, le 5 e paragraphe de l’article 735 dispose expressĂ©ment que “les dispositions du prĂ©sent article ne portent pas prĂ©judice aux rĂšgles du dĂ©faut” 34 . c Demande de renvoi de la cause devant une chambre Ă  trois magistrats 27. On rappellera qu’en vertu de l’article 91, al. 8, du Code judiciaire, en matiĂšre civile, la demande de renvoi de la cause, en premiĂšre instance, devant une chambre Ă  trois juges doit ĂȘtre introduite avant tout autre moyen, par Ă©crit, le jour de l’introduction de la cause. Cette demande pourra ĂȘtre faite par le demandeur directement dans l’acte introductif d’instance. Elle devra ĂȘtre faite, par le dĂ©fendeur, par un acte Ă©crit qui sera dĂ©posĂ© au plus tard le jour de l’audience d’introduction. 28. En appel, jusqu’à prĂ©sent, la rĂšgle est l’attribution de la cause devant une chambre composĂ©e de trois conseillers, sauf les exceptions visĂ©es Ă  l’article 109 bis du Code judiciaire. NĂ©anmoins, mĂȘme dans ces hypothĂšses, la cause sera attribuĂ©e devant une chambre composĂ©e de trois conseillers si la demande en est faite par l’appelant dans son acte d’appel principal. L’intimĂ© peut lui-mĂȘme en faire la demande par Ă©crit dans sa dĂ©claration de postulation visĂ©e Ă  l’article 1061 du Code judiciaire. L’article 109 bis, § 1 er , dernier alinĂ©a, prĂ©voit que le non-respect de cette formalitĂ© est prescrit Ă  peine de dĂ©chĂ©ance. d Demande de changement de langue 29. ConformĂ©ment Ă  l’article 4, § 1 er , de la loi du 15 juin 1935 concernant l’emploi des langues en matiĂšre judiciaire, il est possible de solliciter, pour les procĂ©dures introduites devant les juridictions dont le siĂšge est Ă©tabli dans l’arrondissement de Bruxelles, le changement de la langue de la procĂ©dure. Cette demande formulĂ©e par le dĂ©fendeur doit l’ĂȘtre avant toute dĂ©fense et toute exception mĂȘme d’incompĂ©tence. 33 L’article 735 commence par “À l’égard de toute partie comparante, 
”. 34 Sur l’ensemble de ces questions, voyez H. BOULARBAH, “Questions d’actualitĂ© en matiĂšre de dĂ©bats succincts”, ActualitĂ©s et dĂ©veloppements rĂ©cents en droit judiciaire, CUP, vol. 70, mars 2004, p. 81 Ă  105. 26ConformĂ©ment Ă  l’article 4, § 2, de la mĂȘme loi, elle doit ĂȘtre faite soit oralement par le dĂ©fendeur comparaissant en personne, soit par Ă©crit lorsque le dĂ©fendeur comparaĂźt par mandataire. Dans ce cas, l’écrit doit “ĂȘtre tracĂ© et signĂ© par le dĂ©fendeur lui-mĂȘme”. e Demande provisoire sous le bĂ©nĂ©fice de l’article 735 du Code judiciaire devant le juge du fond et action en rĂ©fĂ©rĂ© 30. En vertu de l’article 19, al. 2, du Code judiciaire, “le juge peut avant dire droit, ordonner une mesure prĂ©alable destinĂ©e Ă  instruire la demande ou rĂ©gler provisoirement la situation des parties”. J’ai pu constater, dans le cadre de mes derniĂšres Ă©tudes consacrĂ©es au rĂ©fĂ©rĂ©, qu’une tendance se dessinait en vertu de laquelle les juges des rĂ©fĂ©rĂ©s constatent que le demandeur en rĂ©fĂ©rĂ© n’a pas fait usage de l’article 19, al. 2, du Code judiciaire dans le cadre de la procĂ©dure qu’il a introduite au fond ou qu’il aurait pu introduire au fond, pour lui reprocher de n’avoir pas tentĂ© d’obtenir par “la voie normale” ce qu’il sollicite en rĂ©fĂ©rĂ©. J’ai dĂ©jĂ  eu l’occasion d’émettre les plus grandes rĂ©serves Ă  l’égard de cette jurisprudence 35 . 31. La tentative d’obtenir par “la voie normale” une mesure provisoire devant le juge du fond prĂ©sente en outre un certain danger. Dans un arrĂȘt du 29 mai 1998, la Cour de cassation souligne qu’il peut y avoir litispendance entre une demande introduite Ă  titre provisoire devant le juge du fond et la mĂȘme demande introduite en rĂ©fĂ©rĂ© 36 . Cette jurisprudence peut conduire Ă  la situation catastrophique suivante, oĂč une partie qui joue le jeu de l’évitement du rĂ©fĂ©rĂ© et qui introduit dĂšs lors une demande de provision dans le cadre des articles 19 et 735 du Code judiciaire devant le juge du fond mais qui Ă©choue, en ce sens que sa demande provisoire serait renvoyĂ©e au rĂŽle, se verrait dĂ©finitivement bloquĂ©e puisque, si cette partie introduit ensuite une action en rĂ©fĂ©rĂ©, ayant le mĂȘme objet, le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s ne pourrait que constater la litispendance entre les deux demandes et serait tenu de renvoyer la cause devant le tribunal de premiĂšre instance au fond, premier saisi, 35 J. ENGLEBERT, “Le rĂ©fĂ©rĂ© judiciaire principes et questions de procĂ©dure”, op. cit., n° 16 Ă  18 ; J. ENGLEBERT, “InĂ©dits de droit judiciaire – rĂ©fĂ©rĂ©â€, 2005, p. 157 et 158. 36 En l’espĂšce, il s’agissait d’une provision sur pension alimentaire introduite sur pied de l’article 301 du Code civil. 27
ARTICLE6 : [ Loi 028-2004/AN du 08 septembre 2004. Art 6. La justice est gratuite sous réserve de l'application des dispositions des lois fiscales concernant les BURKINA FASO La patrie ou la mort, nous vaincrons . Notices gratuites de Code De Procedure Civile Du Burkina Faso PDF
Le Quotidien du 2 avril 2009 LibertĂ©s publiques CrĂ©er un lien vers ce contenu [BrĂšves] ApprĂ©ciation du caractĂšre raisonnable du dĂ©lai de procĂ©dure et prise en compte des procĂ©dures civiles et pĂ©nales. Lire en ligne Copier Le principe du dĂ©lai raisonnable est prĂ©vu par l'article 6 de la Convention europĂ©enne de sauvegarde des droits de l'Homme N° Lexbase L7558AIR, qui Ă©nonce que toute personne a droit Ă  ce que sa cause soit entendue Ă©quitablement, publiquement et dans un dĂ©lai raisonnable, par un tribunal indĂ©pendant et impartial. Ainsi, le droit Ă  ĂȘtre jugĂ© dans un dĂ©lai raisonnable fait partie intĂ©grante des droits de la dĂ©fense reconnus par la Cour europĂ©enne. Sur un plan national, le dĂ©lai raisonnable du jugement est assurĂ© Ă  l'article L. 781-1 du Code de l'organisation judiciaire devenu l'article L. 141-1 du mĂȘme code N° Lexbase L7823HN3. Le caractĂšre raisonnable de la durĂ©e de la procĂ©dure est apprĂ©ciĂ©e in globo, et il inclut les phases prĂ©alables Ă  la saisine du juge ainsi que l'ensemble des voies de recours. Par deux arrĂȘts rendus le 25 mars 2009, la Cour de cassation a prĂ©cisĂ© la durĂ©e de la procĂ©dure pouvait comprendre tant la procĂ©dure pĂ©nale que la procĂ©dure civile Cass. civ. 1, 25 mars 2009, 2 arrĂȘts, n° FS-P+B+I N° Lexbase A1936EEG et n° FS-P+B+I N° Lexbase A1935EEE. En effet, elle Ă©nonce que la procĂ©dure pĂ©nale et la procĂ©dure civile qui se sont succĂ©dĂ©es ayant le mĂȘme objet, de sorte qu'elles devaient ĂȘtre considĂ©rĂ©es dans leur ensemble, et la pĂ©riode les sĂ©parant Ă©tant de courte durĂ©e, la cour d'appel a pu estimer qu'un dĂ©lai de quinze annĂ©es Ă©coulĂ© entre l'accident et la consĂ©cration des droits de la victime Ă  indemnisation excĂ©dait le dĂ©lai raisonnable visĂ© par l'article 6 de la Convention europĂ©enne de sauvegarde des droits de l'Homme ce qui constituait un dĂ©ni de justice, au sens de l'article L. 781-1 du Code de l'organisation judiciaire devenu l'article L. 141-1 du mĂȘme code. © Reproduction interdite, sauf autorisation Ă©crite prĂ©alable newsid350020 Utilisation des cookies sur Lexbase Notre site utilise des cookies Ă  des fins statistiques, communicatives et commerciales. Vous pouvez paramĂ©trer chaque cookie de façon individuelle, accepter l'ensemble des cookies ou n'accepter que les cookies fonctionnels. En savoir plus Parcours utilisateur Lexbase, via la solution Salesforce, utilisĂ©e uniquement pour des besoins internes, peut ĂȘtre amenĂ© Ă  suivre une partie du parcours utilisateur afin d’amĂ©liorer l’expĂ©rience utilisateur et l’éventuelle relation commerciale. Il s’agit d’information uniquement dĂ©diĂ©e Ă  l’usage de Lexbase et elles ne sont communiquĂ©es Ă  aucun tiers, autre que Salesforce qui s’est engagĂ©e Ă  ne pas utiliser lesdites donnĂ©es. DonnĂ©es analytiques Nous attachons la plus grande importance au confort d'utilisation de notre site. Des informations essentielles fournies par Google Tag Manager comme le temps de lecture d'une revue, la facilitĂ© d'accĂšs aux textes de loi ou encore la robustesse de nos readers nous permettent d'amĂ©liorer quotidiennement votre expĂ©rience utilisateur. Ces donnĂ©es sont exclusivement Ă  usage interne.
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Larticle 16 du Code de ProcĂ©dure Civile, prescrit que le Juge doit, en toute circonstance, faire observer et observer lui-mĂȘme le principe de la contradiction. La Cour d’Appel en assemblĂ©e plĂ©niĂšre, le 22 dĂ©cembre 2000, pourvoi n° 99-11.303, a rĂ©affirmĂ© ce principe. Elle juge que toute personne a le droit Ă  ce que sa cause soit entendue
L EÇON 1 L ’ACTION EN JUSTICE Chapitre 1 DĂ©finition de l’action en justice Section 1 la notion d’action en justice L’action en justice se distingue d’une part du droit substantiel et d’autre part, du droit procĂ©dural. On distingue Ă©galement l’action en justice de la demande en justice elle-mĂȘme. §1 La distinction du droit et de l’actionL’article 30 du Code de procĂ©dure civile nous en donne une dĂ©finition l’action en justice est le droit pour l’auteur d’une prĂ©tention d’ĂȘtre entendu sur celle-ci afin que le juge la dise bien ou mal fondĂ©e. Pour l’adversaire, c’est le droit de discuter de cette prĂ©tention ».ça veut dire qu’il faut bien distinguer l’action en justice du droit substantiel ou droit en justice c’est le droit de saisir le juge et de discuter, demander, faire valoir un droit. Le droit substantiel c’est le fond du droit, c'est-Ă -dire bien ou mal important que les deux soit indĂ©pendant. Si on le conçoit autrement cela signifie que l’on prĂ©voit le droit avant le droit » = on est obligĂ© de justifier du bien ou du mal fondĂ© de notre droit AVANT de pouvoir le discuter si on ne dĂ©montre pas que quelque chose est exact, on n’aurait pas le droit d’agir, c’est complĂštement idiotDONC le droit d’action doit toujours ĂȘtre indĂ©pendant du droit substantiel, car sinon la substance de ma prĂ©tention doit d’abord ĂȘtre analysĂ©e avant d’agir. J’ai le droit d’agir, peut importe ce que je raconte, car on n’observe PAS la nature. Le droit et l’action entretiennent donc des relations MAIS des relations distinctes. La Cour de cassation rĂ©pĂšte rĂ©guliĂšrement que l’existence d’un droit par un demandeur n’est pas une condition de recevabilitĂ© de son action mais de son succĂšs = une action peut ĂȘtre recevable mais mal fondĂ©e. §2 La distinction de l’action et de la demandeLa demande en justice n’est que le PROLONGEMENT du droit d’agir. Le droit d’agir se matĂ©rialise par la demande en justice. La demande en justice est formĂ©e par un faisceau de prĂ©tention. Il constitue un ensemble que l’on soumet au juge, et cet ensemble peut ĂȘtre plus ou moins complet ex une partie est victime d’un accident de circulation. Il faudra dĂ©terminer le niveau de son handicap, les rĂ©percussions de accident. Il a d’une maniĂšre gĂ©nĂ©ral un droit subjectif qui est l’indemnisation de son prĂ©judice, et le prononcĂ© de la responsabilitĂ© de l’auteur de l’infraction. A partir de lĂ , la demande en justice peut ĂȘtre formĂ©e sur UN aspect de son droit subjectif, c'est-Ă -dire que la demande en justice n’épuise pas le droit d’agir, ne le rend pas inutilisable, car ce n’est qu’une partie du droit d’agir. En gros, ce n’est pas parce que je fais une demande en justice, que je ne pourrais pas agir sur le pour ça que les deux ne sont pas identiques, sinon, ça signifie que si on fait une demande en justice, on n’a plus de droit d’agir par la suite. Et c’est faux, car Ă  partir du droit d’agir que je possĂšde, je peux engager une multiplicitĂ© de demandes. Ça signifie aussi que si j’engage une demande en justice mais que j’y renonce, je ne perds pas pour autant mon droit d’agir.
Selonl’article 1243 du Code civil, « le propriĂ©taire d’un animal, ou celui qui s’en sert, pendant qu’il est Ă  son usage, est responsable du dommage que l’animal a causĂ©, soit que l’animal fĂ»t sous sa garde, soit qu’il fĂ»t Ă©garĂ© ou Ă©chappĂ© ». De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les conditions d’application ainsi que le rĂ©gime de
Fiche N°11 Les acteurs juridictionnels de la responsabilitĂ© civile 📌 La compĂ©tence d’attribution des juridictions civiles Les actions en D&I sont en principe de la compĂ©tence du TI ou du TGI. Quelque soit le montant de la demande, ces tribunaux jouissent d’une compĂ©tence exclusive. ✏ Le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s ne sera pas Ă©voquĂ© car il n’est pas compĂ©tent pour prononcer une condamnation Ă  D&I car elle touche au fond du droit, arrĂȘt de la Cour de cassation du 27 janvier 1993. ➭ La compĂ©tence d’attribution de droit commun cĂ d qu’une juridiction est compĂ©tente dĂšs lors que la loi n’attribue pas spĂ©cialement compĂ©tence Ă  une autre juridiction. -Le TI article L221-4 du Code de l’organisation judiciaire sous rĂ©serve des dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires fixant la compĂ©tence particuliĂšre des autres juridictions, le tribunal d'instance connaĂźt, en matiĂšre civile, de toutes actions personnelles ou mobiliĂšres jusqu'Ă  la valeur de 10 000 euros ». -Le TGI article L211-3 du Code de l’organisation judiciaire le tribunal de grande instance connaĂźt de toutes les affaires civiles et commerciales pour lesquelles compĂ©tence n'est pas attribuĂ©e, en raison de leur nature ou du montant de la demande, Ă  une autre juridiction ». Montant > 10 000€. ➭ Les compĂ©tences exclusives d’attribution le TGI possĂšde une compĂ©tence exclusive cĂ d qu’il sera compĂ©tent peu importe le montant de la demande, en matiĂšre de dommage corporel. L’article L211-4 du Code de l’organisation judiciaire le tribunal de grande instance a compĂ©tence exclusive dans les matiĂšres dĂ©terminĂ©es par les lois et rĂšglements ». En matiĂšre d’accident de la circulation, article L311-10-1 du Code de l’organisation judiciaire le tribunal de grande instance connaĂźt Ă  juge unique des litiges auxquels peuvent donner lieu les accidents de la circulation terrestre. Le juge peut toujours renvoyer une affaire en l'Ă©tat Ă  la formation collĂ©giale ». L’article R311-2 du Code de l’organisation judiciaire dans les matiĂšres pour lesquelles il a compĂ©tence exclusive en raison de la nature de l'affaire, le tribunal de grande instance statue en dernier ressort lorsque le montant de la demande, dĂ©terminĂ© dans les conditions prĂ©vues par le nouveau Code de procĂ©dure civile, est infĂ©rieur ou Ă©gal Ă  4 000 euros ». Seule la cassation est alors ouverte aux parties dans le cas des accidents de la circulation lorsque la somme n’excĂšde pas 4000€. 📌 La compĂ©tence territoriale des juridictions civiles Articles 42 et suivants du Code de procĂ©dure civile. ➭ La compĂ©tence territoriale de principe article 42 alinĂ©a 1er du Code de procĂ©dure civile la juridiction territorialement compĂ©tente est, sauf disposition contraire, celle du lieu oĂč demeure le dĂ©fendeur ». Si l’auteur du dommage est une personne physique, on parle de l’endroit oĂč il a son domicile ou, Ă  dĂ©faut, sa rĂ©sidence. Si c’est une personne morale, c’est le lieu oĂč elle est Ă©tablie cĂ d le siĂšge social. ⚠ Si il y a plusieurs dĂ©fendeurs, la victime demandeur devra saisir la juridiction du lieu oĂč demeure l’un deux. Si le dĂ©fendeur n’a ni domicile ni rĂ©sidence connus, le demandeur saisira la juridiction du lieu oĂč il demeure. ➭ La compĂ©tence territoriale alternative article 46 du Code de procĂ©dure civile en matiĂšre dĂ©lictuelle, la juridiction du lieu du fait dommageable ou celle dans le ressort de laquelle le dommage a Ă©tĂ© subi ». Trois possibilitĂ©s pour la victime -Le lieu du domicile du dĂ©fendeur. -Le lieu du fait dommageable. -Le lieu oĂč le dommage est subi. ✏ On ne peut pas dĂ©roger par convention Ă  ces dispositions qui seraient alors rĂ©putĂ©es non-Ă©crites, article 48 du Code de procĂ©dure civile.
Lejeu de ces articles est exclu pour les matiĂšres rĂ©gies par des conventions internationales ou par des rĂšglements communautaires. S’agissant d’un demandeur français, l’article 14 du Code civil lui permet, s’il le souhaite, d’éviter la saisine du juge Ă©tranger du domicile du dĂ©fendeur en saisissant le juge français. L
L’instance en liquidation d’astreinte Ă©tant soumise au rĂ©gime de la reprĂ©sentation obligatoire, c’est sans violer les dispositions des articles 14 et 462 du Code de procĂ©dure civile que la cour d’appel a ordonnĂ© la rectification du dispositif de l’arrĂȘt liquidant cette astreinte dĂšs lors qu’un avis d’audience avait Ă©tĂ© adressĂ© Ă  l’avocat ayant reprĂ©sentĂ© les dĂ©biteurs de l’astreinte, par le rĂ©seau privĂ© virtuel des avocats RPVA. Cass. 2e civ., 7 dĂ©c. 2017, no 16-18216, ECLIFRCCASS2017C201579, M. et Mme Y c/ M. et Mme X, FS–PBI rejet pourvoi c/ CA Pau, 4 fĂ©vr. 2016, Mme AldigĂ©, prĂ©s. ; SCP Rocheteau et Uzan-Sarano, SCP Rousseau et Tapie, av. Le 7 dĂ©cembre 2017, la deuxiĂšme chambre civile de la Cour de cassation a rendu deux arrĂȘts en matiĂšre de communication par voie Ă©lectronique1, l’un excluant le recours au RPVA2, l’autre – ici commentĂ© – l’admettant3. Tous deux sont destinĂ©s Ă  la plus large publication et ont Ă©tĂ© mis en ligne sur le site de la Cour de cassation dĂšs le jour de leur prononcĂ©. Si le premier arrĂȘt interroge quant Ă  l’exclusion de la communication par voie Ă©lectronique, le second peut ĂȘtre approuvĂ©. En outre, il apporte des Ă©lĂ©ments au rĂ©gime de la rectification d’erreur ou omission matĂ©rielle, qui semblent plus ou moins inĂ©dits. Son laconisme ne rend cependant pas sa lecture aisĂ©e
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Codede procĂ©dure civile 3 272 du nom de la Croix-Rouge13 et de la loi fĂ©dĂ©rale du 15 dĂ©cembre 1961 con- cernant la protection des noms et emblĂšmes de l’Organisation des Nations Unies et d’autres organisations intergouvernementales14. 2 Cette juridiction est Ă©galement compĂ©tente pour statuer sur les mesures provision- nelles requises avant

Code de procĂ©dure civileChronoLĂ©gi Article 514 - Code de procĂ©dure civile »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 janvier 2020 Naviguer dans le sommaire du code Les dĂ©cisions de premiĂšre instance sont de droit exĂ©cutoires Ă  titre provisoire Ă  moins que la loi ou la dĂ©cision rendue n'en dispose au II de l’article 55 du dĂ©cret n° 2019-1333 du 11 dĂ©cembre 2019, ces dispositions s'appliquent aux instances introduites devant les juridictions du premier degrĂ© Ă  compter du 1er janvier en haut de la page

CODEDE PROCÉDURE CIVILE . LIVRE VIII DE L’ARBITRAGE . CHAPITRE I DE LA PROCÉDURE . Art.442.- (DĂ©cret lĂ©gislatif n° 93-09 du 25 avril 1993) toute personne peut compromettre sur les droits dont elle a la libre disposition. On ne peut compromettre sur les obligations alimentaires, les droits successoraux, de logements et vĂȘtements, ni sur les questions
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Référenceà cette version : Code de procédure civile, RLRQ c C-25.01, < > consulté le 2022-08-23. Mise-à-jour : Cette loi est à jour au 2022-04-01 selon le site des Publications du Québec. Sauvegarder cette législation. Veille -
Article 1118 En cas de survenance d'un fait nouveau, le juge peut, jusqu'au dessaisissement de la juridiction, supprimer, modifier ou compléter les mesures provisoires qu'il a prescrites. Avant l'introduction de l'instance, la demande est formée, instruite et jugée selon les modalités prévues à la section III du présent chapitre. Article précédent Article 1117 Article suivant Article 1119 DerniÚre mise à jour 4/02/2012
article 14 du code de procédure civile
CODEDE PROCÉDURE CIVILE 7 MARS 1960. – DÉCRET – CODE DE PROCÉDURE CIVILE. (M.C., 1960, P. 1351) CHAPITRE II : DE LA COMPARUTION DES PARTIES ET DU DÉFAUT Art. 14. — Les parties comparaissent en personne ou par un avocat porteur des piùces. Elles peuvent aussi, lorsque l’objet du litige n’est pas une question de statut personnel et que
Code de procĂ©dure civileChronoLĂ©gi Article 14 - Code de procĂ©dure civile »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Naviguer dans le sommaire Article 14Version en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Nulle partie ne peut ĂȘtre jugĂ©e sans avoir Ă©tĂ© entendue ou en haut de la page
Article14 du Code civil L'Ă©tranger, mĂȘme non rĂ©sidant en France, pourra ĂȘtre citĂ© devant les tribunaux français, pour l'exĂ©cution des obligations par lui contractĂ©es en France avec un Français ; il pourra ĂȘtre traduit devant les tribunaux de France, pour les obligations par lui contractĂ©es en pays Ă©tranger envers des Français.

[Cliquez ici pour tĂ©lĂ©charger 20 fiches de rĂ©visions pour rĂ©viser efficacement la procĂ©dure civile] Parmi les principes directeurs du procĂšs, certains ont pour but de garantir la justice du procĂšs. Essentiellement, l’idĂ©e est de permettre au procĂšs de se dĂ©rouler de maniĂšre Ă©quitable, avec un dĂ©bat loyal. Le principe du contradictoire s’inscrit dans ce cadre. Le principe du contradictoire dĂ©finition Le principe du contradictoire signifie que chacune des parties a Ă©tĂ© mise en mesure de discuter l’énoncĂ© des faits et les moyens juridiques que ses adversaires lui ont opposĂ©s. Il faut en effet que chaque partie puisse dĂ©fendre ses intĂ©rĂȘts. Le principe du contradictoire est Ă©galement appelĂ© principe de la contradiction. Le Code de procĂ©dure civile, dans ses articles 14 Ă  17, fait d’ailleurs rĂ©fĂ©rence au principe de la contradiction. Le respect du contradictoire entre les parties Les parties Ă  un litige ont un droit au respect du principe du contradictoire. D’abord, le principe du contradictoire implique que la partie jugĂ©e puisse effectivement participer Ă  son procĂšs. Une affaire ne peut ĂȘtre jugĂ©e sans que l’adversaire n’en ait Ă©tĂ© informĂ© et qu’il n’ait disposĂ© d’un temps suffisant pour assurer sa dĂ©fense. C’est ce que dit l’article 14 du Code de procĂ©dure civile, selon lequel nulle partie ne peut ĂȘtre jugĂ©e sans avoir Ă©tĂ© entendue ou appelĂ©e . Cette rĂšgle est d’ordre public et le juge doit relever d’office son inobservation Cass. Civ. 2Ăšme, 10 mai 1989. Ensuite, pendant l’instance, les parties doivent se communiquer rĂ©ciproquement et en temps utile l’ensemble des Ă©lĂ©ments de fait et de droit qu’elles invoquent au soutien de leurs prĂ©tentions, afin que chacun puisse organiser sa dĂ©fense article 15 du Code de procĂ©dure civile. Ce devoir de communication des piĂšces entre les parties est confirmĂ© par l’article 132 du Code de procĂ©dure civile, qui dispose que La partie qui fait Ă©tat d’une piĂšce s’oblige Ă  la communiquer Ă  toute autre partie Ă  l’instance. La communication des piĂšces doit ĂȘtre spontanĂ©e. » L’objet de la communication est global, dans le sens oĂč aucun Ă©lĂ©ment dĂ©cisif du dĂ©bat ne doit ĂȘtre oubliĂ©. Et selon l’article 15 du Code de procĂ©dure civile, elle doit intervenir en temps utile », c’est-Ă -dire suffisamment avant l’audience, afin que chaque partie puisse rĂ©pliquer. ConcrĂštement, la communication est tardive si l’adversaire ne dispose pas d’un temps suffisant pour assurer sa dĂ©fense. Cette communication en temps utile est apprĂ©ciĂ©e souverainement par les juges, en fonction des circonstances Cass., Ch. mixte, 26 mai 2006, n° Par exemple, dans une affaire, une partie avait signifiĂ© ses conclusions Ă  son adversaire en lui laissant trois jours et demi pour y rĂ©pliquer avant la clĂŽture de la procĂ©dure dont un samedi et un dimanche. Les juges ont considĂ©rĂ© que l’adversaire avait eu suffisamment de temps pour organiser sa dĂ©fense, et que la communication des conclusions avait bien Ă©tĂ© faite en temps utile CA Besançon, 20 nov. 2019, n° 19/00725. Enfin, lorsqu’une mesure est ordonnĂ©e Ă  l’insu d’une partie, celle-ci dispose d’un recours appropriĂ© contre la dĂ©cision qui lui fait grief article 17 du Code de procĂ©dure civile. Ainsi, si une partie a Ă©tĂ© privĂ©e de la facultĂ© de dĂ©battre contradictoirement, le principe du contradictoire s’appliquera a posteriori, et non a priori. Nous parlerons de ces mesures ordonnĂ©es Ă  l’insu d’une partie dans la suite de cet article. Le respect du contradictoire par le juge Pendant l’instance, le juge doit contrĂŽler le respect du principe du contradictoire par les parties article 16 alinĂ©a 1 du Code de procĂ©dure civile. Ainsi, il doit faire en sorte que les parties puissent dĂ©battre contradictoirement des moyens et documents qu’elles invoquent article 16 alinĂ©a 2 du Code de procĂ©dure civile. Il doit Ă©galement respecter lui-mĂȘme le principe du contradictoire. Ainsi, il doit soumettre Ă  la contradiction les moyens de droit qu’il relĂšve d’office article 16 alinĂ©a 3 du Code de procĂ©dure civile. Cela signifie qu’il ne peut pas fonder sa dĂ©cision sur des Ă©lĂ©ments autres que ceux invoquĂ©s par les parties, sans les soumettre au dĂ©bat des parties Cass. Civ., 22 mai 1878. Et il ne peut retenir, dans sa dĂ©cision, les moyens, les explications et les documents invoquĂ©s ou produits par les parties que si celles-ci ont Ă©tĂ© Ă  mĂȘme d’en dĂ©battre contradictoirement article 16 alinĂ©a 2 du Code de procĂ©dure civile. Par exemple, dans une procĂ©dure visant Ă  statuer sur la rĂ©sidence d’un enfant nĂ© d’un couple qui s’était sĂ©parĂ©, le juge ne pouvait pas statuer en se fondant sur l’audition de l’enfant organisĂ©e aprĂšs la clĂŽture des dĂ©bats sans inviter les parties Ă  prĂ©senter leurs observations en cours de dĂ©libĂ©rĂ© ou ordonner la rĂ©ouverture de dĂ©bats Cass. Civ. 1Ăšre, 19 sept. 2019, n° L’audition de l’enfant et son compte rendu sont en effet soumis au principe du contradictoire article 338-12 du Code de procĂ©dure civile. De mĂȘme, dans une procĂ©dure concernant la tutelle d’une femme dont la fille demandait Ă  ĂȘtre dĂ©signĂ©e comme subrogĂ©e tuteur, la Cour de cassation a considĂ©rĂ© que les juges avaient violĂ© le principe du contradictoire en n’informant pas la requĂ©rante du fait qu’elle pouvait prendre connaissance du dossier avant l’audience, et notamment des piĂšces prĂ©sentĂ©es par le tuteur dont elle demandait le remplacement Cass. Civ. 1Ăšre, 19 sept. 2019, n° Les exceptions au principe du contradictoire Le principe du contradictoire est rarement Ă©cartĂ© en procĂ©dure civile. Mais il ne s’applique pas dans certaines procĂ©dures oĂč l’adversaire ne doit pas ĂȘtre prĂ©venu, ou bien a Ă©tĂ© prĂ©venu mais ne comparaĂźt pas. L’ordonnance sur requĂȘte et l’injonction de payer L’article 17 du Code de procĂ©dure civile qu’on a dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© dispose que Lorsque la loi permet ou la nĂ©cessitĂ© commande qu’une mesure soit ordonnĂ©e Ă  l’insu d’une partie, celle-ci dispose d’un recours appropriĂ© contre la dĂ©cision qui lui fait grief. » Ainsi, il existe des cas oĂč la nĂ©cessitĂ© commande qu’une mesure soit ordonnĂ©e Ă  l’insu d’une partie. On peut citer l’ordonnance sur requĂȘte, qui est rendue lorsque les circonstances exigent que des mesures urgentes ne soient pas prises contradictoirement et qui tend dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă  un effet de surprise exemple pour un constat d’adultĂšre Cass. Civ. 1Ăšre, 18 nov. 1992, n° l’injonction de payer, dont l’efficacitĂ© implique de ne pas avertir l’autre partie Aussi bien l’ordonnance sur requĂȘte que l’injonction de payer sont des dĂ©cisions rendues de maniĂšre non contradictoire. Le dĂ©faut de comparution Il s’agit du cas oĂč l’une des parties ne comparaĂźt pas, c’est-Ă -dire qu’elle ne se prĂ©sente pas au procĂšs. Il faut distinguer le dĂ©faut de comparution du demandeur et le dĂ©faut de comparution du dĂ©fendeur. Le dĂ©faut de comparution du demandeur En cas de dĂ©faut de comparution du demandeur sans motif lĂ©gitime, le dĂ©fendeur peut requĂ©rir un jugement sur le fond qui sera contradictoire article 468 du Code de procĂ©dure civile. En rĂ©alitĂ©, le jugement sera dit contradictoire », puisque la contradiction n’aura pas Ă©tĂ© respectĂ©e. Le dĂ©faut de comparution du dĂ©fendeur Le dĂ©faut de comparution du dĂ©fendeur signifie qu’au jour de l’audience le dĂ©fendeur n’a pas constituĂ© avocat ou n’a pas comparu personnellement, selon les cas. Il faut prĂ©ciser qu’en cas de procĂ©dure orale, le dĂ©pĂŽt de conclusions Ă©crites n’est pas suffisant ; il y a dĂ©faut de comparution du dĂ©fendeur si celui-ci ne comparaĂźt pas personnellement. En cas de dĂ©faut de comparution du dĂ©fendeur, l’idĂ©e est tout de mĂȘme de ne pas entraver le cours de la justice ; il faut qu’un jugement soit rendu. C’est pourquoi l’article 472 alinĂ©a 1 du Code de procĂ©dure civile dispose que si le dĂ©fendeur ne comparaĂźt pas, il est nĂ©anmoins statuĂ© sur le fond ». Pour autant, cela ne signifie pas que le juge doit faire droit aux prĂ©tentions du demandeur, simplement parce que le dĂ©fendeur n’a pas comparu. L’article 472 alinĂ©a 2 du Code de procĂ©dure civile dispose Ă  ce titre que le juge ne fait droit Ă  la demande que dans la mesure oĂč il l’estime rĂ©guliĂšre, recevable et bien fondĂ©e ». En ce qui concerne le jugement, il faut distinguer le cas oĂč le dĂ©fendeur n’a pas Ă©tĂ© entendu alors qu’il savait qu’il Ă©tait appelĂ© le cas oĂč le dĂ©fendeur n’a pas Ă©tĂ© entendu parce qu’il ne savait pas qu’il Ă©tait appelĂ© Dans le second cas, le dĂ©fendeur n’a pas reçu l’assignation. A ce moment-lĂ , il peut, Ă  l’initiative du demandeur ou sur dĂ©cision prise d’office par le juge, ĂȘtre Ă  nouveau invitĂ© Ă  comparaĂźtre » article 471 du Code de procĂ©dure civile. Si le dĂ©fendeur ne reçoit toujours pas l’assignation, le jugement est qualifiĂ© de jugement par dĂ©faut s’il n’est pas susceptible d’appel article 473 alinĂ©a 1 du Code de procĂ©dure civile. Un tel jugement pourra alors ĂȘtre frappĂ© d’opposition, ce qui rĂ©tablira la contradiction. En revanche, lorsque le jugement est susceptible d’appel, l’opposition n’est pas possible. [Cliquez ici pour tĂ©lĂ©charger 20 fiches de rĂ©visions pour rĂ©viser efficacement la procĂ©dure civile]

Maisla Cour de cassation a opportunĂ©ment jugĂ©, bien que son arrĂȘt n’ait pas Ă©tĂ© publiĂ© au Bulletin, que l’article 961 du code de procĂ©dure civile Ă©tait destinĂ© Ă  la sauvegarde des droits des parties, laquelle est assurĂ©e par les mentions de l’article 960, alinĂ©a 2 du code de procĂ©dure civile , et qu’une rĂ©gularisation pouvait avoir lieu tant que
Code de procĂ©dure civileChronoLĂ©gi Article 14 - Code de procĂ©dure civile »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Nulle partie ne peut ĂȘtre jugĂ©e sans avoir Ă©tĂ© entendue ou en haut de la page
Auxtermes de l'article 815 du Code Civil, nul ne peut ĂȘtre contraint de rester dans l'indivision. Aussi un droit au partage est prĂ©vu pour tout indivisaire. Le partage du bien est effectuĂ© en fonction des apports de chacun dans l'achat des biens indivis, si la preuve peut en ĂȘtre rapportĂ©e. Le Code de procĂ©dure civile regroupe les lois relatives au droit de procĂ©dure civile français. Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de procĂ©dure civile ci-dessous Article 1180-14 EntrĂ©e en vigueur 2016-02-26 A la demande de tout intĂ©ressĂ© ou d'office, le juge peut ordonner que l'examen de la requĂȘte donne lieu Ă  un dĂ©bat, notamment lorsqu'il est fait application des articles 387,387-3,387-4 et 387-5 du code civil . Dans ce cas, le juge statue aprĂšs avoir entendu ou appelĂ© l'administrateur lĂ©gal ou les administrateurs lĂ©gaux. Les avocats des parties, lorsqu'elles sont assistĂ©es ou reprĂ©sentĂ©es, sont entendus en leurs observations. Nota DĂ©cret n° 2016-185 du 23 fĂ©vrier 2016, art. 18 Ces dispositions sont applicables aux administrations lĂ©gales en cours au jour de son entrĂ©e en vigueur. CitĂ©e par Article 1180-14 .