Ilest souhaitable de sécher le corps (à l’aide d’un linge) à la fin du lavage. Si quelque chose sort du mort (urine, selles ou sang) après sept lavages, on bouchera l’orifice naturel avec du coton,
1 Salamou Alaykoum All, Dernièrement j'ai assisté a une conf et initiation au lavage mortuaire.. bon je ne sais pas si j'ai été distraite mais une question n'a pas été abordé.. Est- il permis a un garçon de laver sa mère ? et vice versa Je sais que c'est possible pour un nourrisson mais jusqu'a quel âge ? Voila Mirci 2 Salamou Alaykoum All, Dernièrement j'ai assisté a une conf et initiation au lavage mortuaire.. bon je ne sais pas si j'ai été distraite mais une question n'a pas été abordé.. Est- il permis a un garçon de laver sa mère ? et vice versa Je sais que c'est possible pour un nourrisson mais jusqu'a quel âge ? Voila Mirci A ma connaissance non 3 non, je crois que c'est à partir de 6 ou 7 ans que c'est interdit de laver son enfant un enfant ne peut pas laver sa mère, le garçon peut assister pour le père ca c'est sure 4 non, je crois que c'est à partir de 6 ou 7 ans que c'est interdit de laver son enfant un enfant ne peut pas laver sa mère, le garçon peut assister pour le père ca c'est sure Pourquoi 6 ou 7 ans ? 5 il me semble que l'âge de la conscience , le meme âge ou il doit commencer à faire sa prière en faitIlexiste une vie avant et une vie après : la vie après la mort dépend essentiellement de la vie avant la mort. Il ne faut pas gâcher sa vie terrestre mais en faire quelque chose de bien dont on puisse être fier le jour où on devra se présenter devant notre Créateur. Cependant, il n’y a pas de description exacte du monde de la vie après la mort car sinon, on serait tenté d’y
Martin LacroixRédacteurSes convictions Réactivons ensemble nos capacités d'empathie et d'émerveillement à travers une série d'explorations du corps humain à demi-sauvage...Y a-t-il une vie après la mort ? Depuis plusieurs siècles, la science se substitue progressivement à la religion pour expliquer les grands mécanismes de la vie. La reproduction, l’évolution, les maladies, l’hérédité, le vieillissement les cartes se dévoilent une à une et s’associent pour former un château d’une improbable complexité. Mais l’édifice s’élève de plus en plus haut en dépit d’un problème de fondation criant les deux plus grands mystères de l’humanité restent toujours inexpliqués. Pourquoi sommes-nous là ? Qu’est-ce que la mort nous réserve ? Nous l’ignorons. Et ce sont ces lacunes qui poussent des milliards de personnes à croire encore en la fin du XIXème siècle, le sociologue Emile Durkheim fait un pari sur l’avenir A mesure que les sciences progresseront, elles parviendront à déloger la foi et la religion finira par disparaître ». Mais il faut croire que l’heure du grand remplacement n’est pas encore venue. Seul 13 % de la population mondiale serait athée, et à peine 5 % de la population nord-américaine1. Des chiffres édifiants qui témoignent de l’impuissance des sciences devant certains phénomènes troublants. Et parmi eux, il en existe un qui prend de l’ampleur l’expérience de mort imminente EMI.Ils prétendent revenir d'outre-tombePartout dans le monde, des millions de personnes rapportent des témoignages incroyables après s’être trouvées dans un état de mort clinique et avoir miraculeusement repris conscience2. Une lumière blanche au bout d’un tunnel, des êtres lumineux, une vie qui défile, un bien-être intense, la sensation de sortir de son propre corps… Les récits se ressemblent. Au-delà des cultures, des âges et des croyances, la séquence événementielle de l’expérience reste étonnement très conservée. On dit que ces gens qui semblent revenir de l’outre-tombe font l’expérience de la mort ces traits communs qui sont retrouvés dans la plupart des EMI ont été étudiés par plusieurs chercheurs qui prennent désormais ces témoignages très au sérieux3-5. Il faut dire que les progrès de la réanimation ont fait exploser le nombre des EMI et qu’il est désormais difficile de les accuser tous de charlatanisme. D’autant que parmi eux se trouvent des scientifiques émérites comme le professeur de neurochirurgie Eben Alexander qui a radicalement changé d’avis après avoir vécu lui-même l’expérience et le docteur Raymond Moody qui a consacré un ouvrage au sujet en recueillant des témoignages dans son hôpital6. Ce retour en arrière prenait la forme d’images mentales, disons, mais c’était des images beaucoup plus vives qu’en temps normal. Je ne revoyais que les moments importants. Cela passait à toute vitesse comme si je feuilletais le livre de ma vie entière en quelques secondes. Cela se déroulait devant moi comme un fil prodigieusement accéléré. Tout en me permettant de tout voir et de tout comprendre. » C’est un témoignage comme on en retrouve des dizaines dans le recueil du docteur Moody. Et tous comportent cette teinte un peu mystique qui fascine autant qu’elle rend ces expériences posent-elles problème ?Le premier problème posé par l’expérience de mort imminente est la définition même de la mort. Certains des individus qui ont expérimenté l’EMI étaient déclarés morts par le corps médical. Or, si nous considérons, comme l’indiquent les théories scientifiques matérialistes actuelles, que la conscience est inextricablement liée au corps humain, le phénomène décrit par ces personnes est totalement impossible. Soit les personnes ne sont pas vraiment mortes, soit le paradigme scientifique dominant de notre époque est faux. Dans un cas, comme dans l’autre, il y a quelque chose qui nous partir de quand une équipe médicale peut affirmer qu’une personne est morte ? C’est une question qui peut paraître évidente mais dont les réponses diffèrent en fonction des époques et des cultures. Pendant des siècles, le seul critère de la mort utilisé par les médecins fut le constat de la cessation d’activité cardiaque et respiratoire, autrement dit l’arrêt cardiorespiratoire. C’était un critère extrêmement lisible, plein de bon sens et qui validait nos représentations collectives de la mort. Ne parlons-nous pas de dernier souffle » et de dernier soupir » ?Mais avec les progrès de la médecine, nous sommes parvenus à faire revenir » des personnes qu’on croyait définitivement parties. Et les frontières de la mort ont donc dû être repoussées. Non, les personnes en arrêt cardiorespiratoire ne sont pas forcément mortes. Les soins avancés en réanimation, les respirateurs artificiels, les défibrillateurs ont montré que le cerveau était parfois capable de se ressaisir et de reprendre le contrôle des fonctions vitales. Au cours des derniers siècles, des milliards d’hommes ont donc sans doute été déclarés morts alors qu’ils étaient encore en vie. Condamnés sans doute, mais encore en vie. Pouvaient-ils entendre et voir le médecin constater la mort comme le rapportent certaines personnes ayant expérimenté l’EMI ? Nous ne pouvons le savoir. Comment pourrais-je considérer comme mort un patient, qui certes n’est pas conscient et qui est condamné mais qui rêve peut-être, et dont la personnalité et le centre des désirs sont encore intacts ? » se demande Pierre Marsolais, médecin les choses ont un peu changé. En France, le constat de la mort ne peut désormais être établi que si 3 critères sont réunis L’absence totale de conscience et d’activité motrice spontanéeL’abolition de tous les réflexes du tronc cérébralL’absence de toute respiration spontanéeLes médecins s’appuient sur des examens et des observations pour certifier que chaque critère est bien rempli. Mais l’un de ces critères interpelle. Sauriez-vous définir l’absence totale de conscience » ? Votre médecin le sait-il ? Que savons-nous vraiment de la conscience alors que la communauté scientifique elle-même peine à établir une définition qui fait l’unanimité ? Et il faudrait prouver que des personnes en sont dépourvues ? Comment réussir cet exploit ? La plupart du temps, le médecin fait appel au bon sens et à son expérience pour juger si la personne est encore consciente ». Mais, en cas de doute, il utilise un examen qui mesure l’activité électrique du cerveau l’électroencéphalogramme EEG. On place des électrodes sur le cuir chevelu du patient et l’appareil d’enregistrement convertit les impulsions électriques en tracés graphiques. Si le tracé obtenu est plat, on estime qu’il ne subsiste plus aucune activité électrique dans le cerveau et donc qu’on fait face à une absence totale de conscience. Un deuxième EEG attestera un peu plus tard que l’absence de conscience constatée est irréversible. La méthode semble puis en 2011, une étude publiée dans la revue PLOS ONE a semé le doute7. Des chercheurs de l’université de Montréal sont parvenus à démontrer qu’une activité cérébrale inconnue pouvait survenir chez des personnes dans le coma qui présentaient un électroencéphalogramme plat. Ces ondes électriques insoupçonnées et baptisées complexes Nu » ont mis fin à une croyance érigée en dogme selon laquelle au-delà d’un EEG plat, il n’existait plus d’activité cérébrale possible. Pour l’un des auteurs de l’étude, cela prouve que le cerveau est capable de survivre à un stade extrêmement profond de coma ». Et cela prouve surtout que nous n’avons pas encore une conception claire de la mort. Nous essayons d’interpréter les signes physiologiques que nous sommes capables de interprète-t-on scientifiquement ces expériences ?Le cerveau est un organe fondamental du corps humain. C’est l’organe de l’esprit. Pour fonctionner, il a besoin d’être constamment alimenté en oxygène et en glucose. Lorsqu’on le prive de l’un des deux éléments, en bloquant la respiration ou la circulation sanguine, il subit rapidement une altération de ses fonctions. Et c’est exactement ce qui se produit en cas d’attaque cardiaque le cœur n’est plus capable de distribuer le sang jusqu’au cerveau qui manque alors cruellement d’ que se passe-t-il entre l’arrêt du cœur et l’arrêt définitif du cerveau ? Est-ce que c’est au cours de cet intervalle de temps que se produit l’expérience de mort imminente ? Combien de temps peut s’écouler entre les deux événements ? Il y a encore quelques années, les chercheurs estimaient que le cerveau s’arrêtait une quinzaine de secondes après l’arrêt du cœur. Mais en 2013, une expérience conduite sur des rats a montré que le cerveau enregistrait encore une activité 30 secondes après l’arrêt cardiaque8. Et que cette activité témoignait d’un état d’éveil particulièrement intense. Plusieurs publications dont la célèbre étude AWARE chiffrent aujourd’hui la période durant laquelle un état de conscience est possible malgré l’arrêt cardiaque à 3 minutes, et ce même lorsqu’on constate une activité électrique nulle9. Le cerveau ne s’arrête pas quand le cœur s’arrête de battre. Au contraire, il augmente son activité. Il se débat. Pour la majorité des scientifiques matérialistes, c’est au cours de cette période que se produit l’ d’oxygène, le cerveau met tout en œuvre pour faire face à ce drame biologique inédit. Il tente de réguler la communication devenue difficile entre les cellules en libérant massivement du glutamate, une substance très active vis-à-vis de la mémoire. Et pour enrayer le dérèglement des teneurs en calcium auquel conduit l’excès de glutamate, le cerveau produit également une substance proche de la kétamine, reconnue pour ses effets hallucinogènes et sa capacité à provoquer une déconnexion du niveau sensoriel. Mais la partie du cerveau qui serait surtout impliquée dans l’EMI serait celle des lobes temporaux, connus pour jouer un rôle dans les cas d’épilepsie, d’émotions intenses, de rappel de souvenirs et de dépersonnalisation. Leur lente agonie participerait activement à l’expérience. Le neurochirurgien Wilder Penfield est d’ailleurs parvenu à recréer certaines sensations de l’EMI en stimulant cette zone chez certains de ses patients10. Le tunnel lui-même trouve son explication l’excitation aléatoire du cortex visuel produirait un effet de lumière brillante au centre du champ visuel et un fondu vers l’obscurité en ce qui ressort de ces théories, c’est que la mort n’est pas un événement ponctuel mais un processus qui se produit en plusieurs étapes. Plusieurs étapes au cours desquels se produisent des phénomènes neurobiologiques impliquant la conscience, les souvenirs, les perceptions passées. Des phénomènes dont nous ignorons encore presque tout. Il n’y a rien de moins ignoré, rien où l’on soit même préparé » disait La Fontaine à propos de la mort. C’est encore vrai aujourd’ paradigme matérialiste de la conscience est-il vraiment valide ?Certains chercheurs n’adhèrent pas à la conception matérialiste dominante de la conscience. Pour eux, ces expériences montrent que la conscience est sans doute détachée du corps humain. Ce sont les dualistes. Ils estiment comme le chercheur Pim van Lommel que le cerveau peut très bien n’être qu’un récepteur comme un poste de télévision qui retransmet les émissions qu’il reçoit. Si le poste tombe en panne, la télévision elle continue d’exister. Les dualistes opposent deux arguments principaux aux matérialistes. Environ 20 % des personnes réanimées après une attaque cardiaque rapportent une expérience de mort imminente. Et cette faible proportion pour eux n’est pas compatible avec la thèse des matérialistes. Avec une explication purement physiologique comme l’anoxie cérébrale pour l’expérience de mort imminente, la plupart des patients qui ont été cliniquement morts devraient en rapporter l’expérience » argumente Pim van il se pourrait qu’une proportion beaucoup plus élevée de gens aient des expériences du même genre, mais ne s’en souviennent pas. C’est précisément ce qui se produit chez des milliers de personnes qui connaissent de grands traumatismes comme un accident de voiture ou une chute d’escalade. Ils enregistrent le traumatisme mais celui-ci devient inaccessible momentanément et parfois même définitivement. Il existe une statistique qui renforce ce contre-argument. Plus les sujets sont jeunes, et plus l’incidence de l’expérience de mort imminente est élevée de 85 % chez les enfants, on passe à 48 % chez les quadragénaires et à 18 % chez les plus de 60 ans. Et nous savons aussi que les capacités de rappel d’un souvenir diminuent avec l’âge… Il est donc possible que nous expérimentions tous ce genre de phénomène à l’approche d’une mort autre point pose problème aux dualistes. Les matérialistes sont parvenus à expliquer plus ou moins les différentes sensations de l’EMI excepté l’une d’entre eux. Comment, alors que l’absence d’activité électrique corticale semble rendre impossible toute perception sensorielle, les expérienceurs » peuvent-ils entendre et voir les personnes qui les entourent ? Certains d’entre eux prétendent même avoir des possibilités de conscience supérieures à celles qu’ils connaissent habituellement comme se déplacer dans l’espace hors de leur corps et avoir accès à des informations pourtant inaccessibles depuis leur point de vue corporel. De nombreux chercheurs ont réussi à reproduire les expériences de sortie du corps en stimulant des zones particulières du cerveau comme le gyrus angulaire ou le lobe temporal droit. Mais aucun d’entre eux n’a réussi à reproduire la médiumnité parfois rapportée par les personnes. Des chercheurs dualistes ont conduit une étude visant à attester du pouvoir de voyance des expérienceurs au cours de l’EMI. Puisqu’ils prétendent pouvoir visualiser leur corps depuis une source extérieure alors qu’ils sont cliniquement déclarés morts, ils devraient pouvoir visualiser des objets particuliers disséminés dans la pièce et autour du corps. Les chercheurs ont donc placé photos, souvenirs et objets de valeur sentimentale sans qu’aucun des expérienceurs n’en mentionnent leur présence dans leur récit. Imaginent-ils une autre scène basée sur les dernières mesures sensorielles qu’ils ont pu effectuer ? Comment expliquer dans ce cas que leur récit corresponde à celui des médecins ? Peut-il s’agir de simples coïncidences ?Nous ne connaissons pas la vérité. La science n’a pas de vérité. Il n’y a pas de vérité qui soit scientifique, il y a des vérités provisoires qui se succèdent, où la seule vérité c’est d’accepter cette règle et cette recherche » disait le philosophe Edgar Morin14. Et aujourd’hui, la vérité provisoire appartient aux les EMI sont-ils si religieux ?Incontestablement, nous retrouvons dans les récits, les légendes et les croyances du monde, les thématiques de sorties de corps, d’ascension, de tunnel et de lumière éblouissante, de retrouvailles avec des présences humaines au moment de la mort. Et à nouveau, des similitudes apparaissent. Est-ce que ce sont ces représentations collectives et symboliques qui influencent les expériences des personnes qui frôlent la mort ? Les mythes dans lesquels elles ont baigné depuis tout petit ont-ils façonné leurs interprétations de l’expérience ? Ou bien serait-ce le contraire ? Des expériences ancestrales de personnes ayant frôlé la mort ont-ils pu construire un ensemble de croyances aux quatre coins du globe de manière indépendante ? Leurs récits ont-ils alimenté ces légendes qu’on raconte encore aujourd’hui et qui se traduisent dans les textes sacrés et dans des milliers d’œuvres d’art ? Les deux théories sont possibles et certainement pas incompatibles. D’autant que les EMI existaient déjà dans les temps reculés. Les Grecs anciens les appelaient Deuteropotmos » tandis qu’on parlait de Las Dog » chez les tibétains pour désigner les personnes mortes qui seraient revenues du paradis pour raconter leurs histoires. Et comme à notre époque, les individus qui racontaient le même genre d’expérience, avec le même genre de sensations, avaient beaucoup de difficultés à être crues. Mais certains ont pu l’être et nourrir les récits les plus légendaires…Une autre vie nous attendrait Les personnes qui ont raconté leurs expériences n’ont pas été ramenées de la mort, mais ont été sauvés à un point très proche de la mort. Personne ne peut donc affirmer qu’elles indiquent ce qui nous attend tous à l’étape ultime de la mort. Mais elles peuvent nous donner une idée de ce qui nous attend avant ce moment fatidique, et tout indique qu’il y aurait une vie après la vie qui retracerait les souvenirs de la première tout en se nourrissant de nos facultés sensorielles, perceptives et imaginatives. Une vie intérieure faisant apparaître d’autres temporalités que notre confrontation au monde extérieur. Et cette vie ne serait pas forcément brève mais simplement affranchie du temps. Qu’est-ce que le temps ? demande Saint Augustin. Si personne ne me le demande, je le sais. Mais si on me le demande et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus ». Le temps n’a pas d’existence en tant que tel. Ce sont les choses, et leur écoulement qui rendent sensibles le passé, le présent, l’avenir » précise Aristote. L’horloge mentale qui est en nous, qui bat la régularité de l’écoulement du temps et qui en permet l’existence, semble se détraquer dans certaines situations très particulières. Beaucoup ont rapporté que le temps s’arrêtait lorsqu’ils croyaient mourir. Les quelques secondes qui séparent l’anticipation d’une collision avec un véhicule et la collision elle-même durerait une éternité. Des auteurs ont montré que cette impression de ralenti était due au fonctionnement de notre mémoire. Face à un événement potentiellement fatal ou très inattendu, la mémoire enregistrerait un maximum d’informations de manière à rappeler plus facilement des souvenirs ressemblant à la situation fatale et nous permettant d’y survivre. C’est cet enregistrement massif d’informations qui nous donnerait l’illusion que l’événement dure plus longtemps. Et puisqu’il n’existe rien de plus fatal, de plus inattendu que la mort elle-même, il est permis de croire que le temps se dilate encore davantage à son approche, nous livrant à une réverbération sans fin de nous-même où se déploient perceptions conscientes et inconscientes. Un voyage pluridimensionnel, entre mémoire et souvenirs. Entre nostalgie et attente. Entre la vie et la Lacroix Journaliste et auteur scientifique Fondateur de les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information Stirrat and Corn weil Evolution Education and Outreach, 20 13 6332. Morin Jacques, L’expérience de mort imminente enjeu de validation paradigmatique entre les matérialistes et les dualistes des neurosciences, Mémoire de l’Université du Québec à Montréal3. Konopka LM. Near death experience neuroscience perspective. Croat Med J. 2015 Aug;564 Mobbs D, Watt C. There is nothing paranormal about near-death experiences how neuroscience can explain seeing bright lights, meeting the dead, or being convinced you are one of them. Trends Cogn Sci. 2011 Oct;1510447-9. doi Epub 2011 Aug Long J. Near-death experience. Evidence for their reality. Mo Med. 2014 Sep-Oct;1115 Moody Raymond, 1980, La vie après la vie. Enquête à propos d 'un phénomène la survie de la conscience après la mort du corps physique, Traduction française Éditions Robert Laffont 1977, Montréal, pp. 35 à Kroeger D, Florea B, Amzica F 2013 Human Brain Activity Patterns beyond the Isoelectric Line of Extreme Deep Coma. PLoS ONE 89 e75257. doi Jimo Borjigin et al. Surge of neurophysiological coherence and connectivity in the dying brain ? PNAS August 27, 2013 vol. 110 no. 35, 2013, doi Parnia Sam et ali, 2014, AWARE AWAreness during Resuscitation. A prospective study. Elsevier Science Penfield Wilder, 1958, Sorne mechanisms of consciousness discovered during electrical stimulation of the brain. Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America 1958 van Lommel P, van Wees R, Meyers V, Elfferich I. Lancet. 2001 Dec 15;35892982039-45. Near-death experience in survivors of cardiac arrest a prospective study in the Jérôme Bosch, du vrai nom néerlandais de Hieronymus Van Aken L’ascension de l’homme béni vers l’empyrée 1500-150413. William Blake 1827 The circle of the Lustful, Illustrations of Dante’s Divine Comedy. 14. Morin Edgar, 1990, Science avec conscience, Éditions du Seuil, Paris, J. Sur les épaules de Darwin, Les battements du temps, France Inter/Les liens qui libèrent, article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi Louangeà Allah. Louanges à Allah Premièrement, il a déjà été dit dans le cadre de la réponse donnée à la question n° 14016 qu’il est permis à l’un des époux de laver l’autre. Deuxièmement,pour une épouse morte alors qu’elle observe un délai de viduité, son mari peut la laver si la répudiation était réversible.7 Pour la femme, coiffer ses cheveux en trois nattes et les rabattre en arrière. 8) Commencer le lavage par le côté droit et par les membres des ablutions. 9) Essuyer le corpsLaver le mort -ghasl al mayyit-, l’envelopper d’un linceul -takfîn-, prier sur lui et l’ensevelir, est une obligation communautaire -fard kifâya-, de sorte que si certains musulmans en assurent l’exécution, le péché de faillir à cette obligation ne frappe pas les autres. La personne qui a le plus de droit à laver le mort, est celle qu’il a lui-même désignée dans son testament. Ensuite vient le père du défunt, car il est plus affectueux à son égard et plus connaisseur en la façon de procéder que le fils du défunt, ensuite les autres dans leur ordre de parenté avec le défunt. La femme est lavée par celle qu’elle a recommandée dans son testament, ensuite sa mère, puis sa fille, puis les autres dans leur ordre de parenté avec la défunte. Il est possible que le mari lave son épouse, car le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit à Aïsha رضي الله عنها Qu’aurais-tu à perdre si tu mourais avant moi, puisque je te laverais... » 1 De même, il est possible que l’épouse lave son mari, car Abû Bakr رضي الله عنه a recommandé dans son testament que sa femme le laverait. 2 L’homme, comme la femme, peuvent laver l’enfant qui a moins de sept ans, qu’il soit un garçon ou une fille, car la religion est tolérante concernant la nudité de l'enfant. Lorsqu’un homme meurt uniquement entouré de femmes ou vice-versa, on doit remplacer le lavage par le tayammum ; il consiste à ce que l’un d’eux pose les mains sur le sol, ensuite les fait passer sur le visage puis les mains du mort. Il est interdit au musulman de laver un mécréant ou de l’enterrer, conformément à la parole d’Allah le Très Haut "Ne prie jamais sur aucun d ’eux s’il meurt." 3 Si la prière mortuaire sur lui, avec toute l’importance que comporte ce culte, est interdite, alors toutes les pratiques funéraires qui sont en deçà de la prière le sont aussi. Le laveur doit couvrir les parties du corps qu’il est interdit de montrer -`awra-, puis lui enlèvera ses habits. Il doit le mettre à l’abri des regards des gens, car il se peut qu’il soit dans un état déplaisant Puis il soulèvera sa tête jusqu’à le mettre dans une position presque assise, puis pressera légèrement sur son ventre pour le débarrasser de ce qu’i1 pourrait renfermer, puis versera de l’eau en abondance pour nettoyer les impuretés S’enroulant la main d’une serviette ou un gant, il lavera les parties intimes sans les regarder et sans les toucher s’i1 s’agit d’un mort qui a plus de sept ans. Il dira Bismi-LLah » au nom d’Allah, puis pratiquera sur lui des ablutions comme celles de la prière, conformément à ce qu’a dit le Prophète صلى الله عليه وسلم aux laveuses de sa fille Zaynab رضي الله عنها Commencez par le côté droit et les parties qu’on lave lors des ablutions.» 4 Sauf qu’il ne devra pas rentrer l’eau dans ses narines ni dans sa bouche, mais il s’enroulera le doigt d’un tissu mouillé, le mettra entre les lèvres du défunt et frottera ses dents, nettoiera les narines aussi. Il est souhaitable de laver sa tête et sa barbe à l’aide d’une mousse faite de mélange d’eau et du jujubier -sidr- Avec le reste de cette eau, on lavera tout le corps. Ensuite il lavera le côté droit de face. Puis de dos coté droit, il procédera de la manière pour le côté gauche, conformément au Hadith précité Commencez par le côté droit ». Il répétera l’opération une deuxième et une troisième fois conformément à ce qu’a dit le Prophète صلى الله عليه وسلم dans le Hadith précité Lavez-la trois fois », en ayant soin, chaque fois, de lui presser sur le ventre. S’il en sort quelque chose, il le lavera. Au laveur de faire plus de trois lavages, voire même dépasser le nombre de sept s’il voit qu’il est nécessaire. Relève de la Sunna le fait de mettre du camphre dans le dernier lavage, car le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit dans le Hadith précité Mettez du camphre dans le dernier lavage » Il s’agit d’un genre de parfum connu, il est frais et son odeur chasse les insectes. Il est recommandé de laver le mort avec de l`eau froide, sauf si le laveur voit qu’il y a beaucoup de saletés sur le corps du défunt, dans ce cas, il peut utiliser de l`eau tiède. Il peut aussi se servir du savon pour lui enlever les saletés, mais il ne doit pas le frotter brutalement car la peau risque de se décoller. Il peut nettoyer ses dents à l`aide d’un cure—dents. Il est souhaitable de raccourcir la moustache et les ongles du mort s`ils sont longs. Quant aux poils des aisselles et du pubis, on ne les coupe pas. On ne lui peignera pas les cheveux car ils risqueront de tomber ou de se couper. Si le mort est une femme, on fera trois tresses de ses cheveux et on les laissera pendre dans le dos. Il est souhaitable de sécher le corps à l’aide d’un linge à la fin du lavage. Si quelque chose sort du mort urine, selles ou sang après sept lavages, on bouchera l’orifice naturel avec du coton, puis on nettoiera l’endroit souillé. S`il en sort quelque chose après l’avoir enveloppé dans du linceul, on ne le relavera pas, car c’est gênant de le faire. Le pèlerin le grand pèlerinage —hajj- ou le petit pèlerinage -`umra— qui se trouve en état de sacralisation -al-muhrim— sera lavé avec de l’eau et du jujubier —sidr—. On ne le parfumera pas et on ne lui couvrira pas la tête s’il s’agit d’un homme, car le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit propos du pèlerin qui est mort en état de sacralisation Ne le parfumez pas » Et il صلى الله عليه وسلم a dit Ne lui couvrez pas la tête; il sera ressuscité dans l’au-delà en faisant la talbiyya » 5. On ne lavera pas le martyr tombé sur le champ de bataille; le Prophète صلى الله عليه وسلم a donné l'ordre que les morts de la bataille d’Uhud soient enterrés dans leurs habits et qu’ils ne soient pas lavés. 6 On l’enterrera donc dans les vêtements dans lesquels il est mort, après lui avoir retiré son équipement de fer et de cuir. On ne fera pas sur lui la prière des morts, car le Prophète صلى الله عليه وسلم n’a pas prié sur les martyrs de la bataille d’Uhud. 7 On lavera l’avorton -siqt— qui a atteint quatre mois, on fera sur prière des morts et on lui donnera un nom. Le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit Le potentiel de création -khalq- de chacun de vous est rassemblé en un peu de liquide -nutfah dans le ventre de sa mère pendant quarante jours, puis il est une adhérence -`alaqah- pendant une période similaire, puis il est une mâchure -mudgha- pendant un période similaire. Allah demande ensuite à l’ange qui insuffle en lui l'ame. » 8 C`est à dire que l’âme pénètre dans le corps après quatre mois. Avant cette période. il n`est qu’un morceau de chair qu`on enterrera sans lavage ni prière. Quand il est impossible de procéder au lavage du mort, parce que l’on manque d’eau ou que l’on craint la décomposition du corps ou que le mort est carbonisé, on pratique le Tayammum ; il consiste à ce que l`un des gens présents pose ses mains sur le sol, puis les fait passer sur le visage et les mains du mort. Le laveur doit taire ce qu’il voit sur le défunt comme choses déplaisantes, tels que l'assombrissement de son visage ou la présence de traces désagréables sur son corps, ou des stigmates de ce genre. Le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit Celui qui a lavé un mort et a tu ses défauts, Allah l’absout quarante fois. » 9 1 Hadîth authentique rapporté par Ahmad. Voir ses sources dans l’épître intitulée le lavage et l’inhumation -al-ghusl wa-l—kafan- » du shaykh Mustapha al `Adawi page 46. 2 Rapporté par `Abd ar—Razzâq dans al-Musannaf n° 6117. 3 Coran, verset 84 du chapitre le repentir ». 4 Unanimement accordé 5 Unanimement accordé. 6 Rapporté par al—Bukhâri. 7 Unanimement accordé. 8 Rapporté par Muslim. 9 Rapporté par al—Hâkim et qualifié d`authentique par al-Albâni dans Les règles des funérailles >> page 51. source Pratiques funéraires 40 Fatwas de Savant, 241 innovations Cheikh Mouhammad Nacer-dine Al-Albany Article paru sur 3ilm char3i
Appeleznous au .38. Le processus de la désinfection Diogène est scrupuleux. Un périmètre de sécurité est créé en posant une toile désinfectée sur le palier. Les travailleurs enfilent ensuite leur combinaison blanche imperméable, qu’ils n’enlèveront pas tant que le travail n’est pas terminé.
Se faire un nouveau tatouage est une expérience passionnante, mais il est important de savoir comment en prendre soin pour qu’il guérisse correctement et reste beau pendant des années. Vous devez savoir ce qu’il faut faire dans les 24 heures qui suivent le les 24 heures qui suivent, le plus important est de garder le tatouage propre et de suivre les instructions de votre artiste. Utilisez la pommade ou le pansement que votre artiste vous a conseillé d’utiliser. Un tatouage est une plaie ouverte et présente un risque d’infection. Ne le touchez pas sans vous laver les mains et veillez à ne pas le cueillir ou le gratter. N’allez pas à la piscine ou dans un cet article, nous aborderons ce que vous devez faire dans les 24 heures suivant l’obtention de votre tatouage, ainsi que certaines erreurs courantes que les gens commettent lorsqu’ils prennent soin de leurs ce qui suit pour vous assurer que votre nouveau tatouage est magnifique une fois guéri !POURQUOI IL EST ESSENTIEL DE BIEN SOIGNER LE TATOUAGE DANS LES 24 PREMIÈRES HEURESVous sortez fièrement de la boutique de tatouage avec votre encre toute neuve. Le tatoueur a fait son travail et vous êtes satisfait du résultat. C’est maintenant à vous de la phase la plus importante, les 24 premières heures de cicatrisation, est maintenant arrivée. Cette période est la clé importante de la bonne cicatrisation de votre tatouage, de son aspect pour les années à venir, et même de l’éventualité d’une infection qui détruirait votre c’est vous qui en êtes responsable ! 24 premières heures de soins du tatouage sont importantes à bien faire. Vous devez savoir ce qu’il faut faire et, surtout, ce qu’il faut vous inquiétez pas et ne paniquez pas devant cette responsabilité. Nous sommes là pour vous aider à traverser les 24 à 48 premières heures et vous assurer que vous obtiendrez la meilleure guérison possible pour votre – ÉCOUTEZ VOTRE TATOUEURNous allons parler du consensus sur le suivi des vous devez écouter les instructions spécifiques de votre propre tatoueur. Il vous a encré et connaît votre type de peau ainsi que les produits qu’il recommande. Veillez donc à prendre en compte tout ce qu’il vous dit avant devrait vous avoir remis une feuille imprimée contenant ses instructions spécifiques de suivi. Il est très important de suivre ce que vous a dit votre artiste professionnel et de ne pas écouter vos amis ou d’inventer au fur et à ne sommes pas votre tatoueur et nous ne pouvons pas donner de conseils médicaux, alors assurez-vous d’en parler à votre tatoueur ou à votre DU TATOUAGE – LES PREMIÈRES 24 À 48 HEURESLe soin des tatouages peut sembler compliqué, mais il est en fait très simple. Le principe de base d’un bon suivi des tatouages est de les traiter comme une plaie ouverte et de garder la zone propre pour éviter toute infection les 24 premières heures, le tatouage est le plus vulnérable, alors nous allons vous aider à traverser cette période en toute y a en fait deux façons pour votre artiste de vous renvoyer chez vous après votre allons les passer en revue – MÉTHODE DU PANSEMENT – UTILISATION D’UN SANIDERM OU D’UN PANSEMENT EN PLASTIQUE votre artiste vous a renvoyé chez vous avec un pansement en plastique sur votre tatouage, cela vous facilitera grandement la le pansement en place pendant 24 heures [ou selon ce que votre artiste vous a dit].Lavez-vous soigneusement les mains avec de l’eau et du sous la douche et retirez le doucement le tatouage en utilisant vos mains et un savon doux ou antibactérien uniquement. Ne frottez pas, n’utilisez pas d’éponges rugueuses, simplement tout le liquide accumulé sur la surface en de la douche et séchez le tatouage en tapotant avec une serviette en papier le pansement suivant que votre tatoueur vous a devez garder ce pansement pendant environ 5 jours pour protéger le tatouage pendant sa phase initiale de – MÉTHODE DE LA POMMADE – UTILISEZ LA POMMADE DE SOIN APRÈS TATOUAGE RECOMMANDÉE PAR VOTRE TATOUEURVotre tatoueur vous aura probablement renvoyé chez vous avec votre tatouage emballé dans du film plastique ou du saran wrap. Il vous aura également recommandé une bonne pommade ou crème de soin après que vous rentrez chez vous, vous devez vous occuper de tout vos mains soigneusement avec de l’eau et du l’emballage du tatouage. Le plus simple est de le faire sous la douche. Vous devez l’enlever dès que possible. Il ne sert qu’à une brève protection et le laisser trop longtemps entraîne une accumulation de chaleur et de liquides en dessous, ce qui constitue des conditions parfaites pour la prolifération des bactéries. Il est important de l’enlever et de ne pas l’enlever. Pas de nouvel la douche, nettoyez le tatouage en douceur avec de l’eau et du savon. Ne frottez le tatouage en le tapotant avec une serviette en papier la pommade cicatrisante que votre tatoueur vous a conseillé d’ faites pas trop. Vous n’avez besoin que d’une petite couche fine, sinon vous allez obstruer le cette routine de lavage / séchage / pommade 2 fois par jour pendant 3 toujours vos mains avant de toucher le tatouage et n’autorisez personne à le tatouage récent est une grande plaie ouverte et est vulnérable aux infections. Lavez-vous toujours soigneusement les mains à l’eau et au savon avant de le TOUCHER UN NOUVEAU TATOUAGE ?Vous devez toucher un nouveau tatouage le moins possible. Lavez-vous très bien les mains avant de le faire. Vous pouvez ensuite le toucher pour effectuer votre routine de soins. Assurez-vous que vous ne grattez pas les croûtes de tatouage ou la peau sèche qui s’écaille et ne laissez personne d’autre le LAVER UN NOUVEAU TATOUAGECela nous amène à parler de la façon de laver votre tatouage. Ne vous inquiétez pas, c’est très sais que je le répète, mais c’est essentiel. Lavez soigneusement vos mains avec de l’eau et du savon avant de toucher le LAVER UN NOUVEAU TATOUAGE ?Oui, vous devrez laver un nouveau tatouage deux ou trois fois par jour en utilisant un savon doux et de l’eau comme indiqué ci-dessus si vous n’utilisez pas de pansement. Cependant, veillez à ce que tout ce qui entre en contact avec le tatouage soit propre, et ne le faites pas tremper dans l’eau du PRENDRE UNE DOUCHE AVEC UN NOUVEAU TATOUAGE ?Oui, vous pouvez prendre une douche avec un nouveau tatouage. En fait, c’est la façon la plus facile de nettoyer votre tatouage et cela peut être un film de pansement recouvre le tatouage, vous pouvez quand même prendre une douche. Il suffit d’éloigner les jets de la douche du pansement pour éviter qu’il ne se gorge d’eau ou ne se PRENDRE UN BAIN AVEC UN TATOUAGE RÉCENT ?Il n’est pas vraiment recommandé de prendre un bain avec un tatouage récent. En effet, vous ne voulez pas tremper le tatouage dans l’eau et qu’il se gorge d’ le tatouage se trouve dans une zone éloignée de l’eau, vous pouvez prendre un bain si vous faites très attention à le maintenir hors de l’ exemple, si vous avez un tatouage sur l’épaule, vous pouvez prendre un bain jusqu’à la taille, à condition de vous asseoir et d’éviter de mouiller le en général, les bains sont à éviter. Contentez-vous des douches pendant la période de LAVAGE D’UN NOUVEAU TATOUAGE EST-IL DOULOUREUX ?Votre tatouage sera douloureux et sensible pendant quelques jours. C’est tout à fait se peut que votre peau irritée vous pique davantage lorsque vous vous mettez sous la douche et que vous lavez votre tatouage pour la première fois. Après quelques lavages, cela devrait s’atténuer car le tatouage commence à à ne pas utiliser d’eau trop chaude. En utilisant de l’eau tiède, vous éviterez de faire mal en lavant le général, la douleur n’est pas grave et ressemble à un léger coup de soleil. Elle ne doit pas être atroce. Prendre une douche et laver le tatouage est généralement très TYPE DE POMMADE FAUT-IL UTILISER SUR UN NOUVEAU TATOUAGE ?Il existe tellement de marques différentes de pommade pour tatouage que cela peut prêter à confusion. {Si vous utilisez un film de pansement, vous n’aurez même pas besoin de pommade.}L’essentiel est de rester simple. Restez fidèle à la pommade que votre artiste vous a vous sentez pas obligé d’acheter des pommades et des produits de soins après tatouage de marque crèmes de base fonctionnent très TYPE DE POMMADE FAUT-IL ÉVITER AVEC UN TATOUAGE RÉCENT ?Il est toutefois important d’éviter d’utiliser les MAUVAISES pommades pour tatouage. Dans certains cas, cela peut endommager le tatouage car ce n’est tout simplement pas le bon produit pour la les produits à éviter de mettre sur un tatouage – ce produit n’est pas conçu pour la cicatrisation des tatouages et ne permet pas au tatouage de respirer. Ne l’utilisez pas sur un – Encore une fois, la vaseline ne permet pas de respirer et n’est pas propice à la cicatrisation d’un de cacao – C’est un excellent produit à utiliser sur un tatouage qui a cicatrisé au bout de deux semaines environ. Cependant, il n’est pas recommandé de l’utiliser au début de la période de pommade ou onguent dans un pot ou un bac ouvert – veillez à utiliser une pommade dans un tube ou un récipient scellé et achetez un nouveau tube. N’utilisez pas un vieil article déjà ouvert et ERREURS QUI PEUVENT ENDOMMAGER UN TATOUAGE TOUT NEUF1 – LA NATATION OU LES SAUNAS – SURTOUT LA BAIGNADE SAUVAGE DANS LES LACS, LES RIVIÈRES ET LA ne devriez pas aller dans des étendues d’eau pendant au moins trois semaines car il y a un risque élevé d’infection dans un tatouage en cours de cicatrisation. Les rivières, les lacs et la mer peuvent contenir des eaux usées qui peuvent pénétrer dans votre tatouage devez également éviter les piscines, car le chlore contenu dans l’eau peut décolorer le pigment devez également éviter les saunas, les jacuzzis et les hammams qui peuvent contenir des – FAIRE TREMPETTE DANS LE BAINCela peut être tentant mais c’est un grand non. Le trempage ramollit le tatouage et le rend plus vulnérable aux dommages et aux vous voulez faire un bain relaxant, attendez que votre tatouage soit – BAIN DE SOLEILExposer un nouveau tatouage au soleil l’endommagera, car la peau fraîchement tatouée est cicatrisée et délicate. Les couleurs s’estomperont plus rapidement que si vous le gardez couvert et à l’abri du soleil. L’exposition au soleil doit absolument être évitée au cours des premières fois le tatouage cicatrisé, utilisez une crème solaire à fort indice de protection pour qu’il reste – DORMIR DANS UN LIT SALEVotre literie doit être propre, car il y a un risque que des bactéries se déposent sur le tatouage et provoquent une draps de lit, les couettes, les oreillers et les serviettes doivent tous être propres. Portez des vêtements de nuit propres, mais sachez que l’encre du tatouage peut s’infiltrer dans votre t-shirt pendant la nuit, alors ne portez pas vos plus beaux vêtements de – LAISSEZ LES GENS TOUCHER VOTRE TATOUAGELes gens sont fascinés par les nouveaux tatouages et semblent toujours vouloir les toucher ! C’est à vous de les en empêcher. Les mains des gens sont sales et remplies de toutes sortes de bactéries qui peuvent provoquer une infection du peuvent aussi arracher accidentellement les croûtes ou tirer sur la peau, ce qui endommagera le – TROP DE CRÈME OU TROP DE MANIPULATIONSLes tatouages doivent être maintenus humides, mais pas trop hydratés. Trop de crème peut en fait retarder le processus de cicatrisation et allonger le temps de guérison du tatouage car elle empêche l’oxygène d’atteindre la zone et peut rendre le tatouage plus mou et plus susceptible d’être tatouages guérissent d’eux-mêmes. Ne soyez pas paranoïaque et ne touchez pas trop à votre tatouage, laissez-le guérir le plus possible !7 – LAISSER LE FILM ALIMENTAIRE / LE FILM SARAN / LE FILM PLASTIQUE TROP LONGTEMPS EN PLACELe film alimentaire / saran wrap est là pour protéger et empêcher vos vêtements de coller au tatouage sur le chemin du retour du salon de tatouage. Rien de il ne faut pas le laisser en place plus de deux heures, car il peut étouffer le tatouage et empêcher l’oxygène de l’atteindre, ce qui peut causer des problèmes. Elle crée également un environnement chaud et humide propice au développement de bactéries sur la peau en cours de cicatrisation et à l’apparition d’une le tatouage dès que vous pouvez, en rentrant de votre SAVOIR SI VOTRE TATOUAGE EST INFECTÉ ?Si la cicatrisation est insuffisante et que vous craignez une infection de votre tatouage, il y a quelques éléments à prendre en compte la zone autour du tatouage est chaude au toucherLe tatouage est douloureux et endolorile tatouage suinte du pus ou du liquideLe tatouage est rouge et enflamméVous avez de la fièvreSi vous pensez avoir un tatouage infecté, il est important de consulter un médecin le plus rapidement chez le médecin dès que possible. Dans le pire des cas, l’infection d’un tatouage peut entraîner la mort !QUE FAIRE SI VOUS AVEZ BESOIN D’UNE RETOUCHE ?Si votre tatouage ne guérit pas tout à fait correctement et que vous pensez qu’une retouche est nécessaire, attendez qu’il soit complètement cicatrisé. Cela peut prendre jusqu’à 12 de réparer un tatouage qui n’est pas encore cicatrisé ne fera qu’aggraver la situation et pourrait provoquer une infection ou endommager davantage le tatouage. Soyez patient, l’attente en vaut la peine !Prenez contact avec votre tatoueur et expliquez-lui ce qui s’est passé. La plupart des artistes proposent une retouche gratuite et sont heureux de le faire. Ils vous prendront ensuite rendez-vous lorsque le tatouage sera complètement guéri et qu’ils pourront corriger les FRÉQUENTES SUR L’ENTRETIEN DES TATOUAGES – QUE FAIRE DANS LES 24 HEURES SUIVANT LE TATOUAGE ?COMMENT DOIS-JE TRAITER LA PREMIÈRE NUIT DE MON TATOUAGE ?La chose la plus importante la première nuit de votre tatouage est de vous assurer que votre lit est propre. Ayez des draps frais et des vêtements propres pour dormir. Cependant, sachez que le tatouage va laisser s’infiltrer de l’encre et du liquide pendant la nuit, alors n’utilisez pas votre meilleur t-shirt ou vos draps de marque les plus chers. Une fine couche de crème ou de pommade ou un film de pansement protégeront votre FAUT-IL ÉVITER DE FAIRE APRÈS UN TATOUAGE ?Vous ne devez pas prendre de bain de soleil ou de banc solaire avant que le tatouage ne soit cicatrisé. Il faut également éviter la baignade {surtout sauvage} car l’eau peut contenir des bactéries qui pourraient infecter le tatouage et le chlore peut affecter l’encre. Ne grattez pas ou ne grattez pas le tatouage, car vous pourriez perdre de l’encre. Ne touchez pas le tatouage sans vous laver les mains et ne permettez à personne d’y toucher non DE TEMPS APRÈS LE TATOUAGE PUIS-JE PRENDRE UNE DOUCHE ?Vous pouvez vous doucher immédiatement après le tatouage, mais évitez l’eau chaude, qui peut être douloureuse. Lavez délicatement le tatouage à l’eau chaude et au savon en vous assurant que tous les résidus d’encre et les fluides corporels ont été éliminés. Évitez de frotter le tatouage, car cela pourrait l’endommager. Séchez-le en tapotant avec une serviette propre. Appliquez une fine couche de la crème recommandée par votre artiste. Les bains ne sont pas QUE FAIRE DANS LES 24 HEURES QUI SUIVENT LE TATOUAGE ?Vous avez maintenant toutes les informations dont vous avez besoin pour bien soigner votre tatouage. Il est crucial de prendre soin d’un tatouage pendant les 24 premières heures, mais il n’est pas difficile de le faire. Il suffit de suivre ces directives, de garder le tatouage propre et d’éviter les erreurs courantes pour que tout aille bien et pour éviter toute infection vous avez des questions ou des inquiétudes, veuillez consulter votre tatoueur. Ce sont les experts et ils seront heureux de vous aider à faire en sorte que votre encre guérisse bien et soit chance ! Lanécessité de se laver les mains avant d’entreprendre les grandes ablutions. Après s’être lavé les parties intimes il faut se laver les mains. Il est permis de retarder le le lavage des pieds après le lavage du corps. Il suffit de se laver le corps une seule fois lors des grandes ablutions. (Rapporté dans le Sahih Al Bukhari 274 etLa perte d’un être cher représente un événement affligeant. De nombreuses personnes vivent difficilement la séparation. Certains proches n’hésitent d’ailleurs pas à couvrir de câlins l’être disparu. Vos marques d’affection à l’égard d’un défunt ne doivent pas vous faire oublier votre propre sécurité. Retrouvez les principaux risques sanitaires liés à une manipulation de cadavre et les dispositions à prendre pour vous protéger. Sommaire1 Les menaces de Les menaces liées aux pathologies Les menaces liées aux Des risques plus élevés à domicile2 Les dispositions à prendre pour manipuler les cadavres3 Une bonne gestion des cadavres4 Les risques liés aux cadavres en décomposition5 En définitive Les menaces de contamination Vous vous exposez à des maladies si vous les touchez les corps des défunts sans porter certains accessoires de sécurité. Dans le meilleur des cas, vous guérissez après une hospitalisation. Malheureusement, cela peut aussi entraîner votre décès. Les menaces liées aux pathologies transmissibles Certaines personnes décèdent des suites d’infections contagieuses. Cela concerne surtout les cadavres des individus qui souffraient de la tuberculose. Les corps des défunts peuvent dégager des fluides par des narines et la bouche. Vous pouvez contracter cette pathologie en en entrant en contact avec ces liquides ou en respirant les aérosols en provenant de l’air résiduel de leurs poumons. Les mêmes risques existent avec les personnes décédées de choléra, d’hépatites, de rotavirus, de Salmonelles, de Shigelle, de fièvre typhoïdique et paratyphoïdique. Une transmission de virus peut intervenir lorsque la peau lésée du manipulateur ou sa muqueuse entre en contact avec le sang ou les fluides corporels du cadavre. Vous vous exposez également à des infections gastro-intestinales si vous touchez les selles, les textiles, les matériels ou les liquides souillés du défunt. Les germes à l’origine des maladies transmissibles survivent pendant 48 heures au minimum. Pour le VIH, ce délai s’allonge à 6 jours. Les menaces liées aux NRBCE Le présent cas concerne les personnes décédées à la suite de l’explosion d’une bombe sale ou après l’exposition à une arme nucléaire, radiologique, biologique ou chimique. Montrez-vous également très prudent face à de tels cadavres. Abstenez-vous de les toucher. Une contamination croisée pourrait se produire si leur corps se trouve recouvert de substances potentiellement dangereuses. Cela pourrait vous affecter et entraîner éventuellement votre décès. Des risques plus élevés à domicile Pour les décès survenus dans les hôpitaux et les centres de santé, les médecins et les autres professionnels prennent toutes les dispositions pour vous protéger. Ils vous prodiguent des conseils pour éviter toute contamination. Cela réduit considérablement les risques de transmission de maladie infectieuse. Les menaces précédemment évoquées concernent notamment les décès survenus à la maison. Abstenez-vous d’embrasser le corps du défunt ou de le couvrir de câlins sans vous protéger si vous ne maîtrisez pas les réels motifs de sa mort. Dans l’Hexagone, la loi exige le transfert du cadavre dans un délai de 2 jours après le constat du décès. Les mêmes règles d’inhumation s’imposent à tout le monde, y compris aux musulmans. Ces derniers doivent se conformer à la législation française. La réglementation interdit l’utilisation de simples linceuls pour les enterrements. Ils doivent recourir aux pierres tombales. Des plateformes comme Direct Monuments Funéraires commercialisent d’ailleurs de nombreux modèles musulmans ornés de symboles de l’Islam. Leur quasi-totalité s’inspire des rites de la religion coranique. Vous pouvez voir sur le site les finitions et les options de personnalisation proposées. Les dispositions à prendre pour manipuler les cadavres Des mesures de sécurité s’imposent lorsque vous souhaitez toucher un cadavre. Les autorités sanitaires ont prévu des précautions standard qui vous préservent de toute contamination. Avant d’approcher un défunt, munissez-vous d’un équipement de protection individuelle. Ce dispositif comprend généralement une blouse imperméable à l’eau, un masque chirurgical et une paire de gants. Privilégiez les modèles qui sécurisent le visage et les yeux pour prévenir des risques très importants. Nous vous recommandons de doubler les gants et les sur-chaussures pour renforcer votre protection lorsque vous souhaitez toucher une personne décédée de rage, de fièvres hémorragiques, de peste, etc. Prenez également des dispositions pour camoufler toutes vos blessures. Après la visite, lavez systématiquement les mains. Si possible, offrez-vous un bain pour éliminer toute probabilité de transmissions de germes pathogènes. Nous vous recommandons aussi de désinfecter et de stériliser les matériels utilisés pour limiter les risques de contaminations croisées. Une bonne gestion des cadavres Après le décès, vous devez vous occuper aussitôt des formalités pour l’enterrement. La législation française a prévu les principales étapes pour l’organisation des obsèques. Les démarches prennent moins de temps lorsque le parent ou le proche meurt à l’hôpital. Par contre, la procédure se révèle souvent complexe pour les décès à domicile. Ne laissez pas submerger de chagrin et de peine. Effectuez les formalités conformément à la réglementation prévue. Ne cherchez pas à conserver le cadavre au-delà du temps requis pour vous consoler. Faites intervenir rapidement un professionnel qualifié pour le constat et récupérez un certificat de décès en bonne et due forme. Vous devrez le présenter à la mairie avec les autres pièces nécessaires pour la délivrance de l’acte de décès. Ensuite, vous choisissez une entreprise de pompes funèbres pour l’organisation des obsèques. Vous devez achever ces démarches dès le lendemain de la perte de votre parent. Le transfert du corps vers la morgue doit intervenir au plus tard le second jour. Vous confiez cette tâche à des professionnels. Compte tenu de l’état du cadavre, ces derniers doivent prévoir une housse mortuaire. Ils prennent en charge toute la procédure liée à la préparation de l’enterrement. Nous vous déconseillons fortement de gérer la toilette du défunt. Cela vous expose à d’importants risques de contaminations. Qu’aucun élan de compassion ou de bonté ne vous induise en erreur. Abandonnez cette tâche à des spécialistes. Toutefois, la récupération de l’autorisation d’inhumation ou de crémation vous incombe. N’oubliez surtout pas de vérifier l’existence d’un contrat d’obsèques. Respectez les éventuelles exigences du défunt en matière de monument funéraire. À cette étape, le financement pose parfois problème. N’hésitez pas à solliciter vos proches pour obtenir leur appui. Si nécessaire, créez une collecte en ligne pour couvrir vos dépenses. Dans tous les cas, l’inhumation ou la crémation doit intervenir dans un délai de 48 heures après le décès. Conformez-vous à ces différentes exigences pour limiter les risques de contamination et de maladie. Après l’enterrement, accomplissez les autres formalités administratives imposées par la loi. Vous vérifiez aussi l’existence du contrat de prévoyance. Menez également les démarches nécessaires auprès de sa banque, de sa mutuelle et de la sécurité sociale. Notifiez la mort de votre proche à tous les organismes qui pourraient lui verser des allocations. De même, vous résiliez les accords et accomplissez éventuellement les formalités successorales. Occupez-vous du logement du défunt. Cela revêt une importance capitale si la perte du parent survient à la maison. Confiez cette tâche à des professionnels lorsque vous ne maîtrisez pas les réelles causes du décès. Cela permettra de prévenir tout risque de contamination. En cas de mort provoquée par des maladies transmissibles, détruisez systématiquement tous les objets et accessoires avec lesquels le défunt aurait pu entrer en contact. Si nécessaire, sollicitez un spécialiste pour désinfecter et stériliser entièrement les locaux. Les risques liés aux cadavres en décomposition Malheureusement, certaines catastrophes naturelles peuvent provoquer des décès en nombre important. Cela s’observe généralement lors des tremblements de terre, des tempêtes, des inondations, des crashs d’avion, etc. Parfois, certains corps entrent en état de désintégration avancée avant l’arrivée des secours. Après certains accidents aériens, la mer peut aussi rejeter des cadavres complètement défigurés aux abords de la berge. Ne paniquez pas face à de tels phénomènes. La destruction des microbes pathogènes transmissibles intervient dans un délai de 48 heures. Cela élimine tout risque de contamination. Pour éviter tout incident fâcheux, n’approchez pas de trop près un corps en décomposition. Informez automatiquement les autorités locales. Elles délégueront sur place une équipe pour gérer la situation. Compte du nombre de cadavres et de l’emplacement, vous pouvez demander au service hydraulique d’effectuer un test pour vérifier la qualité de l’eau distribuée. En définitive Vous devez absolument éviter de manipuler les cadavres sans vous protéger avec des équipements adéquats. Prenez également en charge les défunts conformément à la procédure en vigueur en France. Pour les décès liés à des maladies infectieuses transmissibles, stérilisez les effets personnels du proche disparu avant de les utiliser.
Faitesle avec de l’eau et du cèdre puis mettez dans le dernier lavage du camphre ou quelque chose de ce genre. ». Ce hadith constitue une preuve claire que le mort doit être Latoilette mortuaire est une tradition qui remonte à Adam. Pour les musulmans, c’est une obligation à la charge de toute la communauté. Il s’agit d’un devoir que chaque musulman et .